Déjà tard
Il se fait déjà tard
Et l'on entend au loin qui sonne
La vieille cloche noire
C'est minuit qui frissonne.
La lumière d'un bar
Attire les quelques personnes
Qui passaient au hasard
Dans cette rue d'automne...
Les rires qui éclatent
Et les cris de l'horloge
La guitare dans le fond
Résonne dans la nuit.
Les mots sont écarlates
Et dessinent l'éloge
En crescendo le ton
Monte dans l'euphorie.
Il se fait déjà tard
Et l'on partage réunis
Un verre que l'on lève
Entre quelques amis
On trinque dans le soir
Et l'on se trempe dans l'oubli
On nage dans l'espoir
On s'asperge de vie.
Il y en a qui chantent
Dans un coeur anonyme
Une masse de voix
Compacte, indestructible
Un refrain qui nous hante
Résonne comme l'hymne
De ce peuple sans roi
Qui enfin devient libre...
Il se fait déjà tard
La lune éclaire le chemin
Des âmes titubantes
Sur les pavés humides
Ils ont dans le regard
Quelques lumières qui s'emmêlent
Des étoiles fuyantes
Dans les ruelles vides.
Des flashs qui reviennent
Des bribes de musique
Des images plein la tête
Qui tanguent et se mélangent.
Et la nuit les emmène
Dans sa valse utopique
Sur une autre planète
Dans un pays étrange...
Il se fait déjà tard
Si tard que l'aube arrive au loin
Pour disperser la nuit
Qui nous allait si bien.
On se retrouve seul
Perdu dans ce monde lointain
Étranger, clandestin
Au pays du matin.
Alors on va rejoindre
Les foules qui s'engouffrent
Dans le métro usé
Qui grince son ennui
Et l'on fait le voyage
Vers ce bureau fermé
Où, seul, on attendra
Que la nuit tombée
Et l'on entend au loin qui sonne
La vieille cloche noire
C'est minuit qui frissonne.
La lumière d'un bar
Attire les quelques personnes
Qui passaient au hasard
Dans cette rue d'automne...
Les rires qui éclatent
Et les cris de l'horloge
La guitare dans le fond
Résonne dans la nuit.
Les mots sont écarlates
Et dessinent l'éloge
En crescendo le ton
Monte dans l'euphorie.
Il se fait déjà tard
Et l'on partage réunis
Un verre que l'on lève
Entre quelques amis
On trinque dans le soir
Et l'on se trempe dans l'oubli
On nage dans l'espoir
On s'asperge de vie.
Il y en a qui chantent
Dans un coeur anonyme
Une masse de voix
Compacte, indestructible
Un refrain qui nous hante
Résonne comme l'hymne
De ce peuple sans roi
Qui enfin devient libre...
Il se fait déjà tard
La lune éclaire le chemin
Des âmes titubantes
Sur les pavés humides
Ils ont dans le regard
Quelques lumières qui s'emmêlent
Des étoiles fuyantes
Dans les ruelles vides.
Des flashs qui reviennent
Des bribes de musique
Des images plein la tête
Qui tanguent et se mélangent.
Et la nuit les emmène
Dans sa valse utopique
Sur une autre planète
Dans un pays étrange...
Il se fait déjà tard
Si tard que l'aube arrive au loin
Pour disperser la nuit
Qui nous allait si bien.
On se retrouve seul
Perdu dans ce monde lointain
Étranger, clandestin
Au pays du matin.
Alors on va rejoindre
Les foules qui s'engouffrent
Dans le métro usé
Qui grince son ennui
Et l'on fait le voyage
Vers ce bureau fermé
Où, seul, on attendra
Que la nuit tombée
Credits
Writer(s): Julien Morand
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