La rua Madureira
Non, je n'oublierai jamais la baie de Rio
La couleur du ciel, le long du Corcovado
La Rua Madureira, la rue que tu habitais
Je n'oublierai pas pourtant je n'y suis jamais allé
Non, je n'oublierai jamais ce jour de Juillet
Où je t'ai connue, où nous avons du nous séparer
Pour si peu de temps, et nous avons marché sous la pluie
Je parlais d'amour, toi tu parlais de ton pays
Non, je n'oublierai pas la douceur de ton corps
Dans le taxi qui nous conduisait à l'aéroport
Tu t'es retournée pour me sourire avant de monter
Dans une caravelle qui n'est jamais arrivée
Non, je n'oublierai jamais le jour où j'ai lu
Ton nom mal écrit parmi tant d'autres noms inconnus
Sur la première page d'un journal brésilien
J'essayais de lire mais je n'y comprenais rien
Non, je n'oublierai pas la douceur de ton corps
Dans le taxi qui nous conduisait à l'aéroport
Tu t'es retournée pour me sourire avant de monter
Dans une caravelle qui n'est jamais arrivée
Non, je n'oublierai jamais la baie de Rio
La couleur du ciel, le long du Corcovado
La Rua Madureira, la rue que tu habitais
Je n'oublierai pas pourtant je n'y suis jamais allé
Je n'oublierai pas pourtant je n'y suis jamais allé
Non, je n'oublierai pas pourtant je n'y suis jamais allé
La couleur du ciel, le long du Corcovado
La Rua Madureira, la rue que tu habitais
Je n'oublierai pas pourtant je n'y suis jamais allé
Non, je n'oublierai jamais ce jour de Juillet
Où je t'ai connue, où nous avons du nous séparer
Pour si peu de temps, et nous avons marché sous la pluie
Je parlais d'amour, toi tu parlais de ton pays
Non, je n'oublierai pas la douceur de ton corps
Dans le taxi qui nous conduisait à l'aéroport
Tu t'es retournée pour me sourire avant de monter
Dans une caravelle qui n'est jamais arrivée
Non, je n'oublierai jamais le jour où j'ai lu
Ton nom mal écrit parmi tant d'autres noms inconnus
Sur la première page d'un journal brésilien
J'essayais de lire mais je n'y comprenais rien
Non, je n'oublierai pas la douceur de ton corps
Dans le taxi qui nous conduisait à l'aéroport
Tu t'es retournée pour me sourire avant de monter
Dans une caravelle qui n'est jamais arrivée
Non, je n'oublierai jamais la baie de Rio
La couleur du ciel, le long du Corcovado
La Rua Madureira, la rue que tu habitais
Je n'oublierai pas pourtant je n'y suis jamais allé
Je n'oublierai pas pourtant je n'y suis jamais allé
Non, je n'oublierai pas pourtant je n'y suis jamais allé
Credits
Writer(s): Diane Beretta (paule Zambernardi), Nino Ferrer (agostino Ferrari)
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.