Crispé
Crispé, crispé
Crispé sans ta voix, yeah
Crispé sans toi là, yeah
Je fais le deuil de ma joie, ouais
Crispé, crispé
Fait vide dans l'appart', yeah
Fait froid sans tes câlins
Dans l'noir jusqu'au matin
Baby, ton absence m'angoisse, yeah
C'est la nuit sans tes journées
Le sommeil m'est arraché, ouais
Crispé, crispé
Reine du désarroi, yeah
Brisé, en émoi, ouais
J'enchaîne les Gauloises, hé
Crispé, crispé
Ici, seul, abandonné
Ton esprit qui me hante, yeah
Et je remplis le cendrier
Baby, ton absence m'angoisse, yeah
C'est la nuit sans tes journées
Le sommeil m'est arraché, ouais
Bébé, you were my everything
Every day was amazing
Now the daylight is waning thin
Femme
Dans ma collection de photographes de nous deux
Ensemble, heureux, je reconnais ta lueur amoureuse
Et j'trouve ça merveilleux
Ah
Si le destin ne nous avait séparés
Je ne serais pas accablé du tourment de ces durs regrets
J'aurais préféré te garder à mes côtés au lieu de te perdre à jamais
Oh
Mes poumons n'en peuvent plus des cigarettes que je fume
Mais la fraise je rallume et je remplis la pièce de brume
Car sans ta chaleur là, je brûle et je perds doucement la vue
Hé
Tu m'appelles au téléphone et ta voix froide et monotone
Frappe un contraste résonnant dans l'espace vaste des différences
Qui maintenant, hélas et tristement nous font vivre séparément
Crispé sans ta voix, yeah
Crispé sans toi là, yeah
Je fais le deuil de ma joie, ouais
Crispé, crispé
Fait vide dans l'appart', yeah
Fait froid sans tes câlins
Dans l'noir jusqu'au matin
Baby, ton absence m'angoisse, yeah
C'est la nuit sans tes journées
Le sommeil m'est arraché, ouais
Crispé, crispé
Reine du désarroi, yeah
Brisé, en émoi, ouais
J'enchaîne les Gauloises, hé
Crispé, crispé
Ici, seul, abandonné
Ton esprit qui me hante, yeah
Et je remplis le cendrier
Baby, ton absence m'angoisse, yeah
C'est la nuit sans tes journées
Le sommeil m'est arraché, ouais
Bébé, you were my everything
Every day was amazing
Now the daylight is waning thin
Femme
Dans ma collection de photographes de nous deux
Ensemble, heureux, je reconnais ta lueur amoureuse
Et j'trouve ça merveilleux
Ah
Si le destin ne nous avait séparés
Je ne serais pas accablé du tourment de ces durs regrets
J'aurais préféré te garder à mes côtés au lieu de te perdre à jamais
Oh
Mes poumons n'en peuvent plus des cigarettes que je fume
Mais la fraise je rallume et je remplis la pièce de brume
Car sans ta chaleur là, je brûle et je perds doucement la vue
Hé
Tu m'appelles au téléphone et ta voix froide et monotone
Frappe un contraste résonnant dans l'espace vaste des différences
Qui maintenant, hélas et tristement nous font vivre séparément
Credits
Writer(s): Raoul Maccamley
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.