Chaleur
Les saisons se succèdent
Sort de l'hiver dans le souffle le printemps
La nuit nous maintient
La transe qui nous avilissait
Habilité pour l'aridité
À vérifier qu'on l'a mérité
C'est le sang qui circule dans les veines
Les oreilles, la rougeur, la jeunesse
Qui se perd dans les rues délabrées
Tous ces quartiers huppés bourgeois, putes
Convictions politiques je milite
Et m'abîme en discours pathétique
Nan
Je vaux plus que ce que j'n'ai pas
Je refuse de tomber aussi bas
Je renvoie les coups qu'on me porte en leur nom
La misère c'est pas triste
Ça fait vivre dans la nuit
Et pour jouir dans le froid
Et pour seul résultat, une bande de fous
Une pierre, deux coups
Se perd dans la nuit noire
Sors le pochoir
Sur le perchoir
Mon exutoire
Sur le trottoir
J'ai vaincu les démons j'ai marché jusqu'à l'épuisement
Péniblement
Les visions dans l'extase
Des cristaux qui se forment sur les yeux
Qui se gèlent dans le vent
Han
La nuit
La ville est visible
Éveillé j'ai un peu de mal
Bercé par la mélodie
On va dans les lieux sales pour le plus nuisible
J'ai rêvé des journées
Les songes et l'âme
Sont le reflet des yeux qui guettent
La beauté de l'instant
Le malheur du moment
La chaleur en passant
Suivant les putains de la jeunesse
Qui se défoncent dans la genèse
Et trépassé le Saint-mystère
Et les clichés identitaires
Bitch, glitch, glitch, glitch
J'ai glissé sur les syllabes
Tout recommencer l'été qui s'ouvre
Qui nous arrache à nos menaces
Et pour cramer des Marlboro
Sur les parkings
Des bancs publiques
Conduite éthique, je me surprends en alcoolo
C'est rêver de trouver tous ses potes
C'est laisser de coté tous les flops
Arraché dans la nuit je m'écroule sur la plage
Étendu sur du Vincent Francky
Plus je bois, plus je perds de l'oseille
Plus je souffle, plus je deviens vermeil
Deviens merveille
Et je jette un regard vers le ciel
Les étoiles sous la voûte
Dieu le père éternel
Je décroche mon tél
Le souffle coupé
Hurle mon nom
Je crois que le sort a frappé
Triste nouvelle dans la nuit
On m'apprend que ma femme est partie
Je m'étends sur le sol
Triste bouffonne
La lune son regard me maintient la tristesse me remplit
Je contemple dans les yeux
Le lointain, la beauté paysages désolés
Pour cercler l'infini
Han
La nuit
La ville est visible
Éveillé j'ai un peu de mal
Bercé par la mélodie
On va dans les lieux sales pour le plus nuisible
J'ai rêvé des journées
Les songes et l'âme
Sont le reflet des yeux qui guettent
La beauté de l'instant
Le malheur du moment
La chaleur en passant
Sort de l'hiver dans le souffle le printemps
La nuit nous maintient
La transe qui nous avilissait
Habilité pour l'aridité
À vérifier qu'on l'a mérité
C'est le sang qui circule dans les veines
Les oreilles, la rougeur, la jeunesse
Qui se perd dans les rues délabrées
Tous ces quartiers huppés bourgeois, putes
Convictions politiques je milite
Et m'abîme en discours pathétique
Nan
Je vaux plus que ce que j'n'ai pas
Je refuse de tomber aussi bas
Je renvoie les coups qu'on me porte en leur nom
La misère c'est pas triste
Ça fait vivre dans la nuit
Et pour jouir dans le froid
Et pour seul résultat, une bande de fous
Une pierre, deux coups
Se perd dans la nuit noire
Sors le pochoir
Sur le perchoir
Mon exutoire
Sur le trottoir
J'ai vaincu les démons j'ai marché jusqu'à l'épuisement
Péniblement
Les visions dans l'extase
Des cristaux qui se forment sur les yeux
Qui se gèlent dans le vent
Han
La nuit
La ville est visible
Éveillé j'ai un peu de mal
Bercé par la mélodie
On va dans les lieux sales pour le plus nuisible
J'ai rêvé des journées
Les songes et l'âme
Sont le reflet des yeux qui guettent
La beauté de l'instant
Le malheur du moment
La chaleur en passant
Suivant les putains de la jeunesse
Qui se défoncent dans la genèse
Et trépassé le Saint-mystère
Et les clichés identitaires
Bitch, glitch, glitch, glitch
J'ai glissé sur les syllabes
Tout recommencer l'été qui s'ouvre
Qui nous arrache à nos menaces
Et pour cramer des Marlboro
Sur les parkings
Des bancs publiques
Conduite éthique, je me surprends en alcoolo
C'est rêver de trouver tous ses potes
C'est laisser de coté tous les flops
Arraché dans la nuit je m'écroule sur la plage
Étendu sur du Vincent Francky
Plus je bois, plus je perds de l'oseille
Plus je souffle, plus je deviens vermeil
Deviens merveille
Et je jette un regard vers le ciel
Les étoiles sous la voûte
Dieu le père éternel
Je décroche mon tél
Le souffle coupé
Hurle mon nom
Je crois que le sort a frappé
Triste nouvelle dans la nuit
On m'apprend que ma femme est partie
Je m'étends sur le sol
Triste bouffonne
La lune son regard me maintient la tristesse me remplit
Je contemple dans les yeux
Le lointain, la beauté paysages désolés
Pour cercler l'infini
Han
La nuit
La ville est visible
Éveillé j'ai un peu de mal
Bercé par la mélodie
On va dans les lieux sales pour le plus nuisible
J'ai rêvé des journées
Les songes et l'âme
Sont le reflet des yeux qui guettent
La beauté de l'instant
Le malheur du moment
La chaleur en passant
Credits
Writer(s): Florent Blin
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.