C'est ainsi
Je suis avec toi sur la terre des morts
J'aurais voulu t'aimer mais il est trop tard
Je t'écrirai la vie la vraie
Les mains brouillards les coeurs en friche
Les trouillards les débrouillards bref ceux qui manquent à l'affiche
Toujours plus près du vide quand les jours se ressemblent
Et c'est fou ce que l'on ressent en somme quand on est seul ensemble
Le teint blafard abîmé par la vie, habité par le doute
J'avance plein phares dans la nuit pour te trouver sur ma route
Une destinée un peu funèbre quand t'as personne sur qui compter
Caresser les ténèbres c'est peut-être apprendre à les dompter
Tu crèves dans l'indifférence, tes cinq sens à l'affût
Mais pour oublier ta démence bah tu te flingues à la fume
La vie n'est pas si docile vu que t'as pas le cran des vainqueurs
Tu veux ta dose d'ocytocine ou d'un coup de faucille en plein coeur
L'aiguille tourne et malgré tout t'attends juste que ton heure sonne
T'es là pour les autres avoue mais quand t'as besoin y a plus personne
Ta bonne étoile est un dark sun alors tant mieux si tout est sombre
Car il n'y a que les coeurs lucioles sur la même longueur d'ombre
Ce monde n'a rien d'alléchant, y a plus grand chose pour t'exciter
Tu connais bien trop les gens et leur foutue toxicité
Tout le monde te parle mais ça t'ennuie, on te traite comme un déprimé
Alors que dans le fond t'es juste le fruit
Des sentiments que t'as réprimés
À quoi bon leur parler, leurs conseils sont prévisibles
Ils feront semblant de t'écouter et tu resteras invisible
C'est comme ça depuis ta naissance, seul depuis le placenta
Que tu vis ce vide immense qui prend bien trop de place en toi
J'ai presque vu l'éden dans tes yeux couleur brumâtre
Même qu'elle a pris vie ta peine passé 3h00 du mat'
Même si le temps est limité, il se fait long mais le pire
C'est l'étrange infinité que tu n'as jamais su décrire
T'es devenu froid et terne que tu sois de Mars ou Vénus
Tu croyais trouver la perle, ce n'était qu'une caillasse de plus
Sûrement seul et médusé tu feras encore les même bilans
Avec la gueule un peu usée comme si ton âme avait mille ans
Tu ne sais pas plus pourquoi t'es al, tu cherches ta vérité ton but
Pas l'amitié des fils de putes, tu luttes pour ton idéal
Il te diront que t'es dans l'erreur
Qu'à ce monde faudra bien t'y faire
Mais rien que ça vocifère, les rêveurs n'ont pas besoin de somnifères
Tu les mystifies t'es pas le plus mort de tous mon ange
Et si ton spleen se liquéfie au pire ça remplira le Gange
Pourvu qu'on se sorte d'ici même si le brouillard s'épaissit
Qui se ressemble s'apprécie je t'attends comme une éclaircie
Ça parle d'avenir, de faire des mômes, de baraque, de nouvelle caisse
Et toi t'es là t'as pas les mots à leurs questions de politesse
À faire semblant on s'oublie vite
C'est pas comme si t'avais eu le choix
Quand tu souris t'as l'air stupide comme si c'était ta première fois
Tu te fais rare comme le bonheur ou comme les gens honnêtes
La morale est aux donneurs ce que l'amour est aux poètes
Tu vis comme une étincelle le feu dans tes yeux c'est un signe
Incompris on s'éteint seul tu m'as dit c'est ainsi
Tu ne sauras jamais combien d'appels ont déchiré ma gorge
Troupeau de parias noyés dans la nuit
Nuit sans tendresse, nuit implacable
Surtout ne dites pas que vous comprenez
Cela il faut que tu le saches avant que je disparaisse
Mais je crains que nous ne soyons trop loin l'un de l'autre
Pour que mes paroles te parviennent encore
J'aurais voulu t'aimer mais il est trop tard
Je t'écrirai la vie la vraie
Les mains brouillards les coeurs en friche
Les trouillards les débrouillards bref ceux qui manquent à l'affiche
Toujours plus près du vide quand les jours se ressemblent
Et c'est fou ce que l'on ressent en somme quand on est seul ensemble
Le teint blafard abîmé par la vie, habité par le doute
J'avance plein phares dans la nuit pour te trouver sur ma route
Une destinée un peu funèbre quand t'as personne sur qui compter
Caresser les ténèbres c'est peut-être apprendre à les dompter
Tu crèves dans l'indifférence, tes cinq sens à l'affût
Mais pour oublier ta démence bah tu te flingues à la fume
La vie n'est pas si docile vu que t'as pas le cran des vainqueurs
Tu veux ta dose d'ocytocine ou d'un coup de faucille en plein coeur
L'aiguille tourne et malgré tout t'attends juste que ton heure sonne
T'es là pour les autres avoue mais quand t'as besoin y a plus personne
Ta bonne étoile est un dark sun alors tant mieux si tout est sombre
Car il n'y a que les coeurs lucioles sur la même longueur d'ombre
Ce monde n'a rien d'alléchant, y a plus grand chose pour t'exciter
Tu connais bien trop les gens et leur foutue toxicité
Tout le monde te parle mais ça t'ennuie, on te traite comme un déprimé
Alors que dans le fond t'es juste le fruit
Des sentiments que t'as réprimés
À quoi bon leur parler, leurs conseils sont prévisibles
Ils feront semblant de t'écouter et tu resteras invisible
C'est comme ça depuis ta naissance, seul depuis le placenta
Que tu vis ce vide immense qui prend bien trop de place en toi
J'ai presque vu l'éden dans tes yeux couleur brumâtre
Même qu'elle a pris vie ta peine passé 3h00 du mat'
Même si le temps est limité, il se fait long mais le pire
C'est l'étrange infinité que tu n'as jamais su décrire
T'es devenu froid et terne que tu sois de Mars ou Vénus
Tu croyais trouver la perle, ce n'était qu'une caillasse de plus
Sûrement seul et médusé tu feras encore les même bilans
Avec la gueule un peu usée comme si ton âme avait mille ans
Tu ne sais pas plus pourquoi t'es al, tu cherches ta vérité ton but
Pas l'amitié des fils de putes, tu luttes pour ton idéal
Il te diront que t'es dans l'erreur
Qu'à ce monde faudra bien t'y faire
Mais rien que ça vocifère, les rêveurs n'ont pas besoin de somnifères
Tu les mystifies t'es pas le plus mort de tous mon ange
Et si ton spleen se liquéfie au pire ça remplira le Gange
Pourvu qu'on se sorte d'ici même si le brouillard s'épaissit
Qui se ressemble s'apprécie je t'attends comme une éclaircie
Ça parle d'avenir, de faire des mômes, de baraque, de nouvelle caisse
Et toi t'es là t'as pas les mots à leurs questions de politesse
À faire semblant on s'oublie vite
C'est pas comme si t'avais eu le choix
Quand tu souris t'as l'air stupide comme si c'était ta première fois
Tu te fais rare comme le bonheur ou comme les gens honnêtes
La morale est aux donneurs ce que l'amour est aux poètes
Tu vis comme une étincelle le feu dans tes yeux c'est un signe
Incompris on s'éteint seul tu m'as dit c'est ainsi
Tu ne sauras jamais combien d'appels ont déchiré ma gorge
Troupeau de parias noyés dans la nuit
Nuit sans tendresse, nuit implacable
Surtout ne dites pas que vous comprenez
Cela il faut que tu le saches avant que je disparaisse
Mais je crains que nous ne soyons trop loin l'un de l'autre
Pour que mes paroles te parviennent encore
Credits
Writer(s): Euphonik
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