Les vents
Comme je la reconnais celle
Qui se tient devant moi
Et laissez-moi vous dire merci
O combien Madame
Il suffisait simplement de regarder au fond de mes yeux
Tout au fond, pour voir s'il y avait encore un peu de feu
La flamme a changer certes, plus belle et plus bleue
Elle est même parfois verte, si on regarde mieux
J'en ai fais des pompes, sans me muscler les veines
Et toutes les histoires que je raconte, l'éloigne encore elle
Comme je la reconnais celle
Qui se tient devant moi
Et laissez-moi vous dire bonne chance
Ô combien Madame
Il suffisait simplement de me croire un peu
Et je n'ai jamais prétendu tutoyer les Dieux
Rien que les nuages
Je me suis contenté de ça
J'ai joué à l'enfant pas sage
Vous en souvenez-vous Madame
Oh, j'en ai fait des pompes, sans me muscler les veines
Et toutes les histoires que je raconte l'éloigne encore elle
Mais devant, attention face aux vents qui vengent
Et s'arrangent pour garder à température ma haine
Je n'ai beau être qu'un camé Léon
J'ai l'âme prête et celle d'un dragon
Sans hallus ni nations
Mais devant, attention face aux vents qui vengent
Et s'arrangent pour garder à température ma haine
Je n'ai beau être qu'un camé Léon
J'ai l'âme prête et celle d'un dragon
Sans hallus ni nations
Qui se tient devant moi
Et laissez-moi vous dire merci
O combien Madame
Il suffisait simplement de regarder au fond de mes yeux
Tout au fond, pour voir s'il y avait encore un peu de feu
La flamme a changer certes, plus belle et plus bleue
Elle est même parfois verte, si on regarde mieux
J'en ai fais des pompes, sans me muscler les veines
Et toutes les histoires que je raconte, l'éloigne encore elle
Comme je la reconnais celle
Qui se tient devant moi
Et laissez-moi vous dire bonne chance
Ô combien Madame
Il suffisait simplement de me croire un peu
Et je n'ai jamais prétendu tutoyer les Dieux
Rien que les nuages
Je me suis contenté de ça
J'ai joué à l'enfant pas sage
Vous en souvenez-vous Madame
Oh, j'en ai fait des pompes, sans me muscler les veines
Et toutes les histoires que je raconte l'éloigne encore elle
Mais devant, attention face aux vents qui vengent
Et s'arrangent pour garder à température ma haine
Je n'ai beau être qu'un camé Léon
J'ai l'âme prête et celle d'un dragon
Sans hallus ni nations
Mais devant, attention face aux vents qui vengent
Et s'arrangent pour garder à température ma haine
Je n'ai beau être qu'un camé Léon
J'ai l'âme prête et celle d'un dragon
Sans hallus ni nations
Credits
Writer(s): Café Bertrand, Dominique Landoni, Walther Gallay
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