Sir John
La calèche collée au cul des équidés qui s'emballent
Me laisse entendre que vous me pourchassez
Là où seules les chandelles me parlent
Là où celle qui est pleine reste mon alliée
Sauf dans l'allée sans fin de mon manoir
À l'abri des jours, dans l'attente des soirs
Prisonnier de mon sortilège, de ma vie de chien
Je viens en costume et monocle pour feindre l'humain
Je me réveille dans les courbatures
Avec dans la gueule, un métallique goût de sang
Ils croient tous, ils le jurent
C'est l'œuvre des gitans
Je sors à n'importe quelle heure
Je me repais de tout ce qui vit
Je suis un monstre en pleurs
Sir John pour ceux qui m'ont suivi
Je maraude au tréfonds des pénombres colossales
A la recherche d'un quelconque frère animal
Une nuit, j'ai traversé les landes, ils voulaient m'ôter la vie
Ils m'ont tous juste effleuré, ceci-dit
Je les entendais, loin de se taire
ses blessures sont très sévères, il ne passera pas l'hiver
Mais la malédiction me confère,
Certains droits sur vos terres
Je suis le trophée à avoir, la chose à abattre
Je me réveille dans les courbatures
Avec dans la gueule, un métallique goût de sang
Ils croient tous, ils le jurent
C'est l'œuvre des gitans
Je sors à n'importe quelle heure
Je me repais de tout ce qui vit
Je suis un monstre en pleurs
Sir John pour ceux qui m'ont suivi
La noblesse de vos intentions
De moi n'ont eu de raison, alors...
Alors battez les campagnes du 18ème
Leurs brumes empalées, leurs sentiers escarpés
Il se pourrait qu'un jour je revienne
J'ai l'ouïe fine et l'odorat bien affuté
Je reviendrai malgré vos prières
Me repaître de tout ce qui vit
On me croit extirpé de vos imaginaires
Mais je traverse les landes depuis au moins 200 vies
Je me réveille dans les courbatures
Avec dans la gueule, un métallique goût de sang
Ils croient tous, ils le jurent
C'est l'œuvre des gitans
Je sors à n'importe quelle heure
Je me repais de tout ce qui vit
Je reste un monstre en colère
Sir John pour ceux qui l'ont omis
Je sors à n'importe quelle heure
Je me repais de tout ce qui vit
Je suis un monstre en pleurs
Sir John pour ceux qui m'ont suivi.
Me laisse entendre que vous me pourchassez
Là où seules les chandelles me parlent
Là où celle qui est pleine reste mon alliée
Sauf dans l'allée sans fin de mon manoir
À l'abri des jours, dans l'attente des soirs
Prisonnier de mon sortilège, de ma vie de chien
Je viens en costume et monocle pour feindre l'humain
Je me réveille dans les courbatures
Avec dans la gueule, un métallique goût de sang
Ils croient tous, ils le jurent
C'est l'œuvre des gitans
Je sors à n'importe quelle heure
Je me repais de tout ce qui vit
Je suis un monstre en pleurs
Sir John pour ceux qui m'ont suivi
Je maraude au tréfonds des pénombres colossales
A la recherche d'un quelconque frère animal
Une nuit, j'ai traversé les landes, ils voulaient m'ôter la vie
Ils m'ont tous juste effleuré, ceci-dit
Je les entendais, loin de se taire
ses blessures sont très sévères, il ne passera pas l'hiver
Mais la malédiction me confère,
Certains droits sur vos terres
Je suis le trophée à avoir, la chose à abattre
Je me réveille dans les courbatures
Avec dans la gueule, un métallique goût de sang
Ils croient tous, ils le jurent
C'est l'œuvre des gitans
Je sors à n'importe quelle heure
Je me repais de tout ce qui vit
Je suis un monstre en pleurs
Sir John pour ceux qui m'ont suivi
La noblesse de vos intentions
De moi n'ont eu de raison, alors...
Alors battez les campagnes du 18ème
Leurs brumes empalées, leurs sentiers escarpés
Il se pourrait qu'un jour je revienne
J'ai l'ouïe fine et l'odorat bien affuté
Je reviendrai malgré vos prières
Me repaître de tout ce qui vit
On me croit extirpé de vos imaginaires
Mais je traverse les landes depuis au moins 200 vies
Je me réveille dans les courbatures
Avec dans la gueule, un métallique goût de sang
Ils croient tous, ils le jurent
C'est l'œuvre des gitans
Je sors à n'importe quelle heure
Je me repais de tout ce qui vit
Je reste un monstre en colère
Sir John pour ceux qui l'ont omis
Je sors à n'importe quelle heure
Je me repais de tout ce qui vit
Je suis un monstre en pleurs
Sir John pour ceux qui m'ont suivi.
Credits
Writer(s): Alain Pérusini, Alain Pérusini - Nicolaï Quintero - Yuri Quintero, Nicolaï Quintero, Walther Gallay, Yuri Quintero
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