Tu me manques
San Francisco me manque
Et j'ai le cœur qui tangue
Le diable dans les hanches
Et la mémoire qui flanche
Je te revois mon ange
Assoupis sur la branche
De cet arbre un dimanche
Et nos nuits longues et blanches
Le printemps qui renaît
Les matinées célestes
Tes yeux, mon paysage
Sur mes lèvres la plage
Les ruelles qui montent
Et nos mains qui descendent
Et le temps qui s'allonge
San Francisco me manque
Tu me manques, tu me hantes
Tu me manques, tu me manques
Tu me manques, tu me hantes
Tu me manques, tu me manques
Et puis ce jour arrive
Où la magie se dissipe
Où les parfums de la ville
N'enivrent plus mes sourires
Tout paraît monotone et gris
Je veux m'enfuir et ta présence résonne, éternel soupir
On fait nos bagages, on part
Retrouver nos territoires
Et soudain cette image
Tout ça bat de nouveau
Les souvenirs sur ma peau
S'écrasent et dansent, et c'est beau
Le désir qui renaît, qui renaît, qui renaît
L'important c'était d'aimer
Tu me mens, tu me manques
San Francisco me manque
Tu me manques, tu me hantes (tu me manques, tu me hantes)
Tu me manques, tu me manques (tu me manques, tu me manques)
Tu me manques, tu me hantes (tu me manques, tu me hantes)
Tu me manques, tu me manques (tu me manques, tu me manques)
Tu me manques, tu me hantes (tu me manques, tu me hantes)
Tu me manques, tu me manques (tu me manques, tu me manques)
Tu me manques, tu me hantes (tu me manques, tu me hantes)
Tu me manques, tu me manques (tu me manques, tu me manques)
J'aurais voulu que ça dure encore et toujours plus
Que cette plénitude emplisse ma vie entière à jamais
J'aimais tes baisers perdus sur mes joues pressées
Ceux qui n'ont pas compté sont ceux qui restent désormais
Ils m'encombrent tu sais, ils sont lassants que je ne puisse les sentir
Ils attisent mon envie et puis s'en vont sans prévenir
Je me souviens ton ombre sur le trottoir, un soir
San Francisco me manque et ce n'est pas un hasard
Non, non ce n'est pas un hasard (non ce n'est pas un hasard)
Non ce n'est pas un hasard (non ce n'est pas un hasard)
Ce n'est pas un hasard (non ce n'est pas un hasard)
Tu me manques, tu me hantes
Tu me manques, tu me manques
Tu me manques, tu me hantes
Tu me manques, tu me hantes
Tu me manques, tu me manques
Tu me manques, tu me hantes
Tu me manques, tu me manques
Et j'ai le cœur qui tangue
Le diable dans les hanches
Et la mémoire qui flanche
Je te revois mon ange
Assoupis sur la branche
De cet arbre un dimanche
Et nos nuits longues et blanches
Le printemps qui renaît
Les matinées célestes
Tes yeux, mon paysage
Sur mes lèvres la plage
Les ruelles qui montent
Et nos mains qui descendent
Et le temps qui s'allonge
San Francisco me manque
Tu me manques, tu me hantes
Tu me manques, tu me manques
Tu me manques, tu me hantes
Tu me manques, tu me manques
Et puis ce jour arrive
Où la magie se dissipe
Où les parfums de la ville
N'enivrent plus mes sourires
Tout paraît monotone et gris
Je veux m'enfuir et ta présence résonne, éternel soupir
On fait nos bagages, on part
Retrouver nos territoires
Et soudain cette image
Tout ça bat de nouveau
Les souvenirs sur ma peau
S'écrasent et dansent, et c'est beau
Le désir qui renaît, qui renaît, qui renaît
L'important c'était d'aimer
Tu me mens, tu me manques
San Francisco me manque
Tu me manques, tu me hantes (tu me manques, tu me hantes)
Tu me manques, tu me manques (tu me manques, tu me manques)
Tu me manques, tu me hantes (tu me manques, tu me hantes)
Tu me manques, tu me manques (tu me manques, tu me manques)
Tu me manques, tu me hantes (tu me manques, tu me hantes)
Tu me manques, tu me manques (tu me manques, tu me manques)
Tu me manques, tu me hantes (tu me manques, tu me hantes)
Tu me manques, tu me manques (tu me manques, tu me manques)
J'aurais voulu que ça dure encore et toujours plus
Que cette plénitude emplisse ma vie entière à jamais
J'aimais tes baisers perdus sur mes joues pressées
Ceux qui n'ont pas compté sont ceux qui restent désormais
Ils m'encombrent tu sais, ils sont lassants que je ne puisse les sentir
Ils attisent mon envie et puis s'en vont sans prévenir
Je me souviens ton ombre sur le trottoir, un soir
San Francisco me manque et ce n'est pas un hasard
Non, non ce n'est pas un hasard (non ce n'est pas un hasard)
Non ce n'est pas un hasard (non ce n'est pas un hasard)
Ce n'est pas un hasard (non ce n'est pas un hasard)
Tu me manques, tu me hantes
Tu me manques, tu me manques
Tu me manques, tu me hantes
Tu me manques, tu me hantes
Tu me manques, tu me manques
Tu me manques, tu me hantes
Tu me manques, tu me manques
Credits
Writer(s): Laurie Darmon
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