06:36
J'ai fermé les yeux zéro secondes depuis hier soir
J'ai de l'imagination
J'peux compter jusqu'à six sur ma main
Mais c'est bien le jour qui se lève au loin j'crois
Si nos chemins se croisent dans mes rêves
J'te montrerais avec trois bouts de ficelle
À quoi ressemblent mes plus belles phrases
Six heures passées mes paupières se ferment
Mon esprit vagabonde et j'le laisse faire
Tout ce que j'espère c'est me perdre
Dans ce monde où le vent devient tempête si j'le souhaite
Où les plantes naissent même dans la pierre
Dans la pièce mes repères sont
Les détails, les marques sur le plafond
Une claque un sommeil profond
Et j'disparais sans m'en rendre compte
Chaque fois c'est différent
Pourtant rien n'a changé
Une seule façon de s'y rendre
Fermer les yeux et cesser de penser
Le gouffre est grand mais je n'ai pas peur de m'y pencher
C'est étrange, je ne chercher pas le silence
Tant que ce piano reste pour me bercer
J'vois des couleurs que j'ai inventées
Il y a des mots que seule ma langue peut prononcer
Aucun démon, aucun ange
Dans l'inconscient aucune tristesse, aucune notion du temps
Profite maintenant à ton réveil rien de tout ça n'aura existé
À ton réveil rien de tout ça n'aura existé
J'ai fermé les yeux zéro secondes depuis hier soir
J'ai de l'imagination
J'peux compter jusqu'à six sur ma main
Mais c'est bien le jour qui se lève au loin j'crois
Si nos chemins se croisent dans mes rêves
J'te montrerais avec trois bouts de ficelle
À quoi ressemblent mes plus belles phrases
Six heures passées où est passée ma peine
J'ai de l'imagination
J'peux compter jusqu'à six sur ma main
Mais c'est bien le jour qui se lève au loin j'crois
Si nos chemins se croisent dans mes rêves
J'te montrerais avec trois bouts de ficelle
À quoi ressemblent mes plus belles phrases
Six heures passées mes paupières se ferment
Mon esprit vagabonde et j'le laisse faire
Tout ce que j'espère c'est me perdre
Dans ce monde où le vent devient tempête si j'le souhaite
Où les plantes naissent même dans la pierre
Dans la pièce mes repères sont
Les détails, les marques sur le plafond
Une claque un sommeil profond
Et j'disparais sans m'en rendre compte
Chaque fois c'est différent
Pourtant rien n'a changé
Une seule façon de s'y rendre
Fermer les yeux et cesser de penser
Le gouffre est grand mais je n'ai pas peur de m'y pencher
C'est étrange, je ne chercher pas le silence
Tant que ce piano reste pour me bercer
J'vois des couleurs que j'ai inventées
Il y a des mots que seule ma langue peut prononcer
Aucun démon, aucun ange
Dans l'inconscient aucune tristesse, aucune notion du temps
Profite maintenant à ton réveil rien de tout ça n'aura existé
À ton réveil rien de tout ça n'aura existé
J'ai fermé les yeux zéro secondes depuis hier soir
J'ai de l'imagination
J'peux compter jusqu'à six sur ma main
Mais c'est bien le jour qui se lève au loin j'crois
Si nos chemins se croisent dans mes rêves
J'te montrerais avec trois bouts de ficelle
À quoi ressemblent mes plus belles phrases
Six heures passées où est passée ma peine
Credits
Writer(s): Pierre-alexandre Pestie
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