Le Qarin, du berceau à la tombe.
J'suis témoin du pire,
Il leur faisaient tomber leur ne- cra dans un panier,
J'aperçois leur visages,
Ils n'voyaient pas Dieu mais le démon qui souriait,
J'ai vécu le pire et j'en dors plus depuis,
J'ai le médicament que j'decoupe quand je tri,
Les paroles sont pesées,
Ils grandissent en voyant des laches,
J'ai du voir ma daronne commettre des trucs atroces,
J'en ai mal aux épaules depuis maintenant des années,
J'ressens des visages qui ne sont pas mes alliés,
Ils m'proposent trop des fois,
Mais le prix à payer c'est de perdre la foi,
C'est des papiers camouflés dans l'béton,
Tu cogites des heures pour en connaître les effets,
Le malheur est la j'suis pas pressé,
L'enfer qui m'attend fait qu'j"n'ai plus rien à fêter,
J'ai rêvé d'Ibliss il y a maintenant plus d'dix ans,
Le Quarin le sait mais j'sais plus ce qu'il me disait,
Prie, le sang dans ta main c'est de l'or pour lui,
J'ai découpé son poignet pas l'heure que j'veux,
Le débit de peine pour les humains est simple,
Ils en retrouvent des gosses a travers des cintres,
La mort dans la cave j'l'oublie,
Si le corps ne peut pas d'où proviennent ces cris?,
La PA remonte c'est sur,
S'en suit, pour le rein va falloir des sous,
Ses parents sont plus déçus,
Sous terre,
De mes chaussures j'les vois d'au dessus,
J'ai pas c'qui s'est passé,
Je m'attendais a pire,
J'aurais dû ne pas naître pour esquiver la mort,
Et maintenant qu'j'suis là,
J'le sais,
J'dois voler tes cailloux pour bâtir un empire,
On les connaît depuis qu'ils ont demandé pardon,
Leurs visages encrés sous le poids de ma semelle,
J'ai certains pouvoirs que j'dois sceller,
Des morceaux après j'pensais pas qu'ca allait être si long,
La vue n'est pas pareil qu'hier,
Y'a d'la pisse sur des feuilles et des sabots autour,
Ses globules serrés dans la mano du père,
Ils en pleuraient de joie comme le prévoit le shour,
Il y a 1640 raisons pour te baiser,
Le sque-ma j'l'avais déjà cette soirée à Turin,
Ils subissent les vices dans les couloirs du château,
Les vêtements jusqu'au sol sans le bruit des talons,
J'ai veski pourtant j'aurais pas du les voir,
J'avais l'frisson d' la mort qui m'averti d'me calmer,
Le Démon dans l'dos se demande si j'vais l'croire,
Il a donné depuis c'est des corps que j'dois ramener,
T'as vécu des années j'm'attendais à moins,
Y'avait une paquet chez toi sous du bétail entaillé,
Tu prépares un délire mais j'voyais pas d'foin,
Donc y'a quoi qui m'supplie derrière la porte enfoiré?
Le sac n'est pas rempli en vain,
J'ai le coup file qui laisse pas cher-mar ton frein,
Il m'supplie d'épargner un fils mais khlass,
Donc j'dégaine un schlass,
Il leur faisaient tomber leur ne- cra dans un panier,
J'aperçois leur visages,
Ils n'voyaient pas Dieu mais le démon qui souriait,
J'ai vécu le pire et j'en dors plus depuis,
J'ai le médicament que j'decoupe quand je tri,
Les paroles sont pesées,
Ils grandissent en voyant des laches,
J'ai du voir ma daronne commettre des trucs atroces,
J'en ai mal aux épaules depuis maintenant des années,
J'ressens des visages qui ne sont pas mes alliés,
Ils m'proposent trop des fois,
Mais le prix à payer c'est de perdre la foi,
C'est des papiers camouflés dans l'béton,
Tu cogites des heures pour en connaître les effets,
Le malheur est la j'suis pas pressé,
L'enfer qui m'attend fait qu'j"n'ai plus rien à fêter,
J'ai rêvé d'Ibliss il y a maintenant plus d'dix ans,
Le Quarin le sait mais j'sais plus ce qu'il me disait,
Prie, le sang dans ta main c'est de l'or pour lui,
J'ai découpé son poignet pas l'heure que j'veux,
Le débit de peine pour les humains est simple,
Ils en retrouvent des gosses a travers des cintres,
La mort dans la cave j'l'oublie,
Si le corps ne peut pas d'où proviennent ces cris?,
La PA remonte c'est sur,
S'en suit, pour le rein va falloir des sous,
Ses parents sont plus déçus,
Sous terre,
De mes chaussures j'les vois d'au dessus,
J'ai pas c'qui s'est passé,
Je m'attendais a pire,
J'aurais dû ne pas naître pour esquiver la mort,
Et maintenant qu'j'suis là,
J'le sais,
J'dois voler tes cailloux pour bâtir un empire,
On les connaît depuis qu'ils ont demandé pardon,
Leurs visages encrés sous le poids de ma semelle,
J'ai certains pouvoirs que j'dois sceller,
Des morceaux après j'pensais pas qu'ca allait être si long,
La vue n'est pas pareil qu'hier,
Y'a d'la pisse sur des feuilles et des sabots autour,
Ses globules serrés dans la mano du père,
Ils en pleuraient de joie comme le prévoit le shour,
Il y a 1640 raisons pour te baiser,
Le sque-ma j'l'avais déjà cette soirée à Turin,
Ils subissent les vices dans les couloirs du château,
Les vêtements jusqu'au sol sans le bruit des talons,
J'ai veski pourtant j'aurais pas du les voir,
J'avais l'frisson d' la mort qui m'averti d'me calmer,
Le Démon dans l'dos se demande si j'vais l'croire,
Il a donné depuis c'est des corps que j'dois ramener,
T'as vécu des années j'm'attendais à moins,
Y'avait une paquet chez toi sous du bétail entaillé,
Tu prépares un délire mais j'voyais pas d'foin,
Donc y'a quoi qui m'supplie derrière la porte enfoiré?
Le sac n'est pas rempli en vain,
J'ai le coup file qui laisse pas cher-mar ton frein,
Il m'supplie d'épargner un fils mais khlass,
Donc j'dégaine un schlass,
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