Osiris
Aujourd'hui je tiens les murs
Garde ta pudeur, ta beauté, tes secret n'envoie pas des nudes
T'as trop tendance à faire parler
Nouvelle maladie via l'animal HANU
La science exacte fait des zigzag
Ils me font croire qu'ils veulent mon bien, qu'il vise la paix
Ils aiment bien quand on te dévisage
Quand la vérité éclate, eux ils étouffent l'affaire
Des gosses se volatilisent, on me dit relativise
Ils refont le monde avec de l'acrylique
Le peuple se divise en deux
La vie est un jeu sans aucun boss, personne ne l'a fini
Si dieu existe et que dieu est le tout, c'est qu'on a une part de dieu en nous
On parle tous d'amour qu'on a très peu en nous
Tes enfants des saints qu'on a du changé en loup
tu te fais passer pour toi mais t'es bien mieux en nous
Juste un dernier verre
Juste un dernière verre
C'est des vautours c'est pas des fous
Suis-je en vie, je ne sens pas mon pouls
Je n'ai rien vu, je fais pas le shouff
J'aime bien lorsque vous me parlez de vous
La voix d'un ange dans le corps du diable
Suivis par des démons qui ne sont pas soignés
Au milieu de la mer t'auras pas de voilier
Sur les portes de l'enfer il n'y a pas de poignée
Si tu te crois fort imagine l'homme immortel
La fin du cycle il est mortel
Je suis ma loi, je suis mon cortège
Je suis dans ma bulle dans mon vortex
Je suis dans l'impasse dans un cul de sac
L'un des derniers l'un des plus stable
Dans mon désert je ne vois plus de sable
L'être humain comment j'éduque ça?
Ça s'entretue pour du business, un peu de paperasse dans les sacoches
La scène de crime qu'on laissera propre
Ton pire ennemis qui restera proche
Je crée l'anarchie, je fais une syncope
Je suis dans la tour de contrôle comme le supérieur d'un président
Je vois la terre qui brûle
J'ai la peau d'un de ces mecs des glaciers sous la neige
L'être humain ne me mérite plus
Je me crache comme se monde parallèle dans lequel on vit
Sous les caprices d'une colombe
En une journée je trouve déjà que le temps est trop long
C'est des vautours c'est pas des fous
Suis-je en vie, je ne sens pas mon pouls
Je n'ai rien vu, je fais pas le shouff
J'aime bien lorsque vous me parlez de vous
Garde ta pudeur, ta beauté, tes secret n'envoie pas des nudes
T'as trop tendance à faire parler
Nouvelle maladie via l'animal HANU
La science exacte fait des zigzag
Ils me font croire qu'ils veulent mon bien, qu'il vise la paix
Ils aiment bien quand on te dévisage
Quand la vérité éclate, eux ils étouffent l'affaire
Des gosses se volatilisent, on me dit relativise
Ils refont le monde avec de l'acrylique
Le peuple se divise en deux
La vie est un jeu sans aucun boss, personne ne l'a fini
Si dieu existe et que dieu est le tout, c'est qu'on a une part de dieu en nous
On parle tous d'amour qu'on a très peu en nous
Tes enfants des saints qu'on a du changé en loup
tu te fais passer pour toi mais t'es bien mieux en nous
Juste un dernier verre
Juste un dernière verre
C'est des vautours c'est pas des fous
Suis-je en vie, je ne sens pas mon pouls
Je n'ai rien vu, je fais pas le shouff
J'aime bien lorsque vous me parlez de vous
La voix d'un ange dans le corps du diable
Suivis par des démons qui ne sont pas soignés
Au milieu de la mer t'auras pas de voilier
Sur les portes de l'enfer il n'y a pas de poignée
Si tu te crois fort imagine l'homme immortel
La fin du cycle il est mortel
Je suis ma loi, je suis mon cortège
Je suis dans ma bulle dans mon vortex
Je suis dans l'impasse dans un cul de sac
L'un des derniers l'un des plus stable
Dans mon désert je ne vois plus de sable
L'être humain comment j'éduque ça?
Ça s'entretue pour du business, un peu de paperasse dans les sacoches
La scène de crime qu'on laissera propre
Ton pire ennemis qui restera proche
Je crée l'anarchie, je fais une syncope
Je suis dans la tour de contrôle comme le supérieur d'un président
Je vois la terre qui brûle
J'ai la peau d'un de ces mecs des glaciers sous la neige
L'être humain ne me mérite plus
Je me crache comme se monde parallèle dans lequel on vit
Sous les caprices d'une colombe
En une journée je trouve déjà que le temps est trop long
C'est des vautours c'est pas des fous
Suis-je en vie, je ne sens pas mon pouls
Je n'ai rien vu, je fais pas le shouff
J'aime bien lorsque vous me parlez de vous
Credits
Writer(s): Alexandre Doyen
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