Trop De Silence
Sans toi, sans moi, sans nous, sans rien
Comme en vacances dans un pays aux murs trop blancs
Où viennent en nombre buter les ides sombres
Sur les décombres d'un cœur qui sombre
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances
Sans te parler, sans t'appeler, sans t'écrire, sans rien choisir
Sans rien attendre, sans rien entendre, sans rien comprendre
Sans sentir ta voix et tes mots posés sur moi
Sans entendre la musique de ta peau sur mes draps
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances
J'ai pas vu ce matin sortir tes fesses de nos draps sales
J'ai pas senti ta main dans mes cheveux comme pour me réchauffer le rêve
J'ai pas senti ton souffle dans mon cou
Ni ta bouche susurrer un salut, à plus tard
Tout ca, ca me fait penser qu'hier non plus
Qu'hier non plus
En pleine lumiere sans un coin d'ombre bien trop sincere pour pas être tout seul au monde
Comme un chien dans l'arène de mon propre désir
J'aboie à perdre haleine, je supplie la fin du martyr
Mais les habits de lumiere ne tireront jamais leur gloire
A me faire toucher terre, on coupe les phares
Fini la fanfare, je reste dans le noir
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances
Comme en vacances dans un pays aux murs trop blancs
Où viennent en nombre buter les ides sombres
Sur les décombres d'un cœur qui sombre
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances
Sans te parler, sans t'appeler, sans t'écrire, sans rien choisir
Sans rien attendre, sans rien entendre, sans rien comprendre
Sans sentir ta voix et tes mots posés sur moi
Sans entendre la musique de ta peau sur mes draps
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances
J'ai pas vu ce matin sortir tes fesses de nos draps sales
J'ai pas senti ta main dans mes cheveux comme pour me réchauffer le rêve
J'ai pas senti ton souffle dans mon cou
Ni ta bouche susurrer un salut, à plus tard
Tout ca, ca me fait penser qu'hier non plus
Qu'hier non plus
En pleine lumiere sans un coin d'ombre bien trop sincere pour pas être tout seul au monde
Comme un chien dans l'arène de mon propre désir
J'aboie à perdre haleine, je supplie la fin du martyr
Mais les habits de lumiere ne tireront jamais leur gloire
A me faire toucher terre, on coupe les phares
Fini la fanfare, je reste dans le noir
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances
Credits
Writer(s): Emmanuel Yves Cabut, Ramzi Akashah
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