Sans fard
Moteur en marche tu es OK pour le départ,
Tu vas courir du matin jusqu'au soir.
T'as tout pour toi pourtant au fond tu voudrais bien,
Tout démolir et changer le destin.
Le temps s'enfuit, il va toujours plus vite, et sans limite,
T'es loin derrière, tu cherches les repères de ton univers.
Et si tu veux regarder le monde en face,
Ouvre les yeux, regarde toi dans la glace.
Sans fard et sans bluffer, tu n'es qu'un homme parmi les hommes
Un visage que l'on gomme.
N'oublie jamais le peu qui t'es donné
Un jour ou l'autre où que tu sois, il faudra payer
C'est l'heure, l'heure de rentrer chez toi
Et dans ses bras tu vas te reposer.
Tu n'auras pas à te forcer pour oublier,
Et digérer les maux de tous les jours.
Toujours les mêmes, les nouvelles du soir, le désespoir.
Perds pas le fil, mais dors tranquille dans ton exil.
Et imagine une île où tu seras roi
Pour éloigner la misère qui sommeille en toi
Sans fard et sans bluffer, tu n'es qu'un homme parmi les hommes
Un visage que l'on gomme.
N'oublie jamais le peu qui t'es donné
Un jour ou l'autre où que tu sois, il faudra payer
L'indifférence est un mal que tu connais bien,
Elle fait parti de ton quotidien
Et si tu veux la regarder bien en face
Ouvre les yeux, regarde toi dans la glace.
Tu vas courir du matin jusqu'au soir.
T'as tout pour toi pourtant au fond tu voudrais bien,
Tout démolir et changer le destin.
Le temps s'enfuit, il va toujours plus vite, et sans limite,
T'es loin derrière, tu cherches les repères de ton univers.
Et si tu veux regarder le monde en face,
Ouvre les yeux, regarde toi dans la glace.
Sans fard et sans bluffer, tu n'es qu'un homme parmi les hommes
Un visage que l'on gomme.
N'oublie jamais le peu qui t'es donné
Un jour ou l'autre où que tu sois, il faudra payer
C'est l'heure, l'heure de rentrer chez toi
Et dans ses bras tu vas te reposer.
Tu n'auras pas à te forcer pour oublier,
Et digérer les maux de tous les jours.
Toujours les mêmes, les nouvelles du soir, le désespoir.
Perds pas le fil, mais dors tranquille dans ton exil.
Et imagine une île où tu seras roi
Pour éloigner la misère qui sommeille en toi
Sans fard et sans bluffer, tu n'es qu'un homme parmi les hommes
Un visage que l'on gomme.
N'oublie jamais le peu qui t'es donné
Un jour ou l'autre où que tu sois, il faudra payer
L'indifférence est un mal que tu connais bien,
Elle fait parti de ton quotidien
Et si tu veux la regarder bien en face
Ouvre les yeux, regarde toi dans la glace.
Credits
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.