Le Rideau Rouge
On maquille sa langue, on maquille ses traits
Va surprendre du regard, les délices
On habille son corps, on habille ses plaies
Pour paraître au dehors, on se glisse
Faites entrer la lumière au cœur de ma raison
Comme une invitation, faites entrer les violons
L'innocente chimère que l'on embrasse en vain
Sous les acclamations, toucher le ciel, enfin faites entrer
Regarder la lumière, ton rôle, ses mystères
Libre, absente de la scène du monde
On se fond aisément, la mélancolie mère
Tu et moi, nous formons une ronde
Faites entrer la lumière au cœur de ma raison
Comme une invitation, faites entrer les violons
L'innocente chimère que l'on embrasse en vain
Sous les acclamations, toucher le ciel, enfin faites entrer
Puis c'est le rideau rouge, le rideau qui nous couvre
Et qui cache du rêve les semblants
Ne pas briser le songe d'une nuit qui nous ouvre
Les portes et le livre des temps, non, ce n'est pas un charme
Ni du regard, un artifice, un théâtre des drames
Une scène des malices, on s'invente des courbes
Et des méandres tristes, on se voit prince et fourbe
On regarde et on attend
Faites entrer la lumière au cœur de ma raison
Comme une invitation, faites entrer les violons
L'innocente chimère que l'on embrasse en vain
Sous les acclamations, faites entrer les pantins, faites entrer
Va surprendre du regard, les délices
On habille son corps, on habille ses plaies
Pour paraître au dehors, on se glisse
Faites entrer la lumière au cœur de ma raison
Comme une invitation, faites entrer les violons
L'innocente chimère que l'on embrasse en vain
Sous les acclamations, toucher le ciel, enfin faites entrer
Regarder la lumière, ton rôle, ses mystères
Libre, absente de la scène du monde
On se fond aisément, la mélancolie mère
Tu et moi, nous formons une ronde
Faites entrer la lumière au cœur de ma raison
Comme une invitation, faites entrer les violons
L'innocente chimère que l'on embrasse en vain
Sous les acclamations, toucher le ciel, enfin faites entrer
Puis c'est le rideau rouge, le rideau qui nous couvre
Et qui cache du rêve les semblants
Ne pas briser le songe d'une nuit qui nous ouvre
Les portes et le livre des temps, non, ce n'est pas un charme
Ni du regard, un artifice, un théâtre des drames
Une scène des malices, on s'invente des courbes
Et des méandres tristes, on se voit prince et fourbe
On regarde et on attend
Faites entrer la lumière au cœur de ma raison
Comme une invitation, faites entrer les violons
L'innocente chimère que l'on embrasse en vain
Sous les acclamations, faites entrer les pantins, faites entrer
Credits
Writer(s): Denis Leonhardt, Alexandre George, Eric Kaija Guerrier, Franck George, Alexandre Bertrand
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