Le blues indolent
Je suis indolente, mes yeux sont vagues, vagues, vagues
Et je balance mes hanches vaguement
Mes lèvres remuent, fardées de mots si vagues, vagues
Les passants hésitent en me croisant
Le temps maudit toujours les presses
Le vent si lent pour celle qui attend
Le temps me berce de paresse
Alors je chante sans fin ce vague chant
Les jeux de l'amour sont comme les jeux du hasard
Qui rêve de cœur souvent est servi de pique noire
Qui cherche un regard reçoit des rires moqueurs
Les hommes nonchalants me font des signes vagues, vagues
Et me frôlent de l'épaule vaguement
Une étreinte vague entre deux êtres vagues, vagues
C'est un peu renier le néant
Le temps maudit toujours nous presse
Le temps pourtant qui va si lentement
Le temps efface mes caresses
Alors je chante sans fin ce vague chant
Les jeux de l'amour sont comme les jeux du hasard
Qui rêve de cœur souvent est servi de pique noire
Qui cherche un regard reçoit des rires moqueurs
Et je suis si triste quand les hommes vagues, vagues, vagues
Se reposent dans mes bras vaguement
Vaguement divaguent dans leur sommeil si vague, vague
Quand ils dorment, ils ressemblent aux enfants
Le temps maudit toujours m'oppresse
Le temps qui va son lent balancement
Le temps emporte ma tendresse
Alors je chante sans fin ce vague chant
Les jeux de l'amour sont comme les jeux du hasard
Qui rêve de cœur souvent est servi de pique noire
Qui cherche un regard reçoit des rires moqueurs
Et je balance mes hanches vaguement
Mes lèvres remuent, fardées de mots si vagues, vagues
Les passants hésitent en me croisant
Le temps maudit toujours les presses
Le vent si lent pour celle qui attend
Le temps me berce de paresse
Alors je chante sans fin ce vague chant
Les jeux de l'amour sont comme les jeux du hasard
Qui rêve de cœur souvent est servi de pique noire
Qui cherche un regard reçoit des rires moqueurs
Les hommes nonchalants me font des signes vagues, vagues
Et me frôlent de l'épaule vaguement
Une étreinte vague entre deux êtres vagues, vagues
C'est un peu renier le néant
Le temps maudit toujours nous presse
Le temps pourtant qui va si lentement
Le temps efface mes caresses
Alors je chante sans fin ce vague chant
Les jeux de l'amour sont comme les jeux du hasard
Qui rêve de cœur souvent est servi de pique noire
Qui cherche un regard reçoit des rires moqueurs
Et je suis si triste quand les hommes vagues, vagues, vagues
Se reposent dans mes bras vaguement
Vaguement divaguent dans leur sommeil si vague, vague
Quand ils dorment, ils ressemblent aux enfants
Le temps maudit toujours m'oppresse
Le temps qui va son lent balancement
Le temps emporte ma tendresse
Alors je chante sans fin ce vague chant
Les jeux de l'amour sont comme les jeux du hasard
Qui rêve de cœur souvent est servi de pique noire
Qui cherche un regard reçoit des rires moqueurs
Credits
Writer(s): Cyrus Bassiak, Ward Swingle
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