Les voyageurs - Chant
Ils ont le ciel pour lit
Et la terre pour travail
Une paire de mains pour outils
Qui, jour à jour, les ravitaille
De musique et de couleur
De peine et de gaieté
Une larme est parfois le bonheur
Et le sourire, la méchanceté
Dans un regard mystérieux
Dans une humeur variable
Un objet n'est pas précieux
Mais une parole inoubliable
Leur chant est un empire
Peut-être le seul d'ailleurs
Que rien ne pourra détruire
Ni les hommes, ni leurs peurs
Et si le temps passe ici-bas
Si les minutes défilent
Il en est qui croisent les doigts
Pour ne pas perdre les sourcils
Au-delà de tous ces mots
De toutes ces angoisses
Eux voyagent le cœur en haut
À gauche de la crasse
Et l'étude importante de la terre qui nous entoure
Récits d'aventures sanglantes, de vie et d'amour
N'apparaît dans aucun livre ou manuscrit
Mais jour après jour, revient pour nous la prendre ici
Mais quand les arbres s'écroulent
Quand le bitume grandit
Et quand l'alcool rend maboule
Quand l'argent nous pourrit
Eux ne s'en servent pas non plus
Comme prétexte de gloire
Restent ou partent selon la vue
Et selon l'espoir
Et quand la police pas aimable
Pour cause de bruit
Vient détruire le minable
Restant de poésie
Qu'il y a dans cette jungle
Immense cité
Où les hommes ne sont plus humbles
Ou ne l'ont jamais été
Et la terre pour travail
Une paire de mains pour outils
Qui, jour à jour, les ravitaille
De musique et de couleur
De peine et de gaieté
Une larme est parfois le bonheur
Et le sourire, la méchanceté
Dans un regard mystérieux
Dans une humeur variable
Un objet n'est pas précieux
Mais une parole inoubliable
Leur chant est un empire
Peut-être le seul d'ailleurs
Que rien ne pourra détruire
Ni les hommes, ni leurs peurs
Et si le temps passe ici-bas
Si les minutes défilent
Il en est qui croisent les doigts
Pour ne pas perdre les sourcils
Au-delà de tous ces mots
De toutes ces angoisses
Eux voyagent le cœur en haut
À gauche de la crasse
Et l'étude importante de la terre qui nous entoure
Récits d'aventures sanglantes, de vie et d'amour
N'apparaît dans aucun livre ou manuscrit
Mais jour après jour, revient pour nous la prendre ici
Mais quand les arbres s'écroulent
Quand le bitume grandit
Et quand l'alcool rend maboule
Quand l'argent nous pourrit
Eux ne s'en servent pas non plus
Comme prétexte de gloire
Restent ou partent selon la vue
Et selon l'espoir
Et quand la police pas aimable
Pour cause de bruit
Vient détruire le minable
Restant de poésie
Qu'il y a dans cette jungle
Immense cité
Où les hommes ne sont plus humbles
Ou ne l'ont jamais été
Credits
Writer(s): Frederic Burguiere, Samuel Burguiere, Mathilde Burguiere, Alice Burguiere
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