Irradié
Irradie
Irradié,
Irradié, je suis le sage, le fou, le débile.
Je suis du village l'idiot et j'entends les rumeurs de la ville.
J'entends les passages cloutés berçants les piétons sages
Au rythme des feux verts dans le désert des embouteillages.
Irradié, voyageur immobile,
Irradié, je suis le sage, le fou le débile et
Je suis du village l'idiot et j'entends les rumeurs de la ville.
Compagnon des lézards obscènes, je déjeune à minuit
De girafes roties qui battent encore de l'aile
Sous le menton crochu des sorcières malsaines.
Je suis du village l'idiot et j'entends les rumeurs de la ville.
Irradié, voyageur immobile,
Irradié, je suis le sage, le fou le débile.
Je suis du village l'idiot et j'entends les rumeurs de la ville.
Je suis celui qu'on veut, celui qu'on croit,
Celui qu'on voit danser sur les nuages en
Tirant des cordes de ma lyre des sons hallucinants
Qui font bondir les petits du tapir au fond des entonnoirs,
Les soirs où sur eux s'abbattent fièvre et cauchemards.
Je suis la dame en noir, l'elfe tout blanc, je suis le placide éléphant
Qui, ballançant sa trompe à travers la futaie,
Bouffe en rêvant les enfants du chardonneret.
Connaissez-vous la druidesse, la fée qui, d'un coup de baguette, d'un
Abracadabra, fera de moi, éternelle âme en peine, un incarné? Sinon, moi,
conquérant du vide, je lance mes escouades d'éclairs de brume et de mirages à
l'assaut des galaxies.
Irradié,
Irradié, je suis le sage, le fou, le débile.
Je suis du village l'idiot et j'entends les rumeurs de la ville.
J'entends les passages cloutés berçants les piétons sages
Au rythme des feux verts dans le désert des embouteillages.
Irradié, voyageur immobile,
Irradié, je suis le sage, le fou le débile et
Je suis du village l'idiot et j'entends les rumeurs de la ville.
Compagnon des lézards obscènes, je déjeune à minuit
De girafes roties qui battent encore de l'aile
Sous le menton crochu des sorcières malsaines.
Je suis du village l'idiot et j'entends les rumeurs de la ville.
Irradié, voyageur immobile,
Irradié, je suis le sage, le fou le débile.
Je suis du village l'idiot et j'entends les rumeurs de la ville.
Je suis celui qu'on veut, celui qu'on croit,
Celui qu'on voit danser sur les nuages en
Tirant des cordes de ma lyre des sons hallucinants
Qui font bondir les petits du tapir au fond des entonnoirs,
Les soirs où sur eux s'abbattent fièvre et cauchemards.
Je suis la dame en noir, l'elfe tout blanc, je suis le placide éléphant
Qui, ballançant sa trompe à travers la futaie,
Bouffe en rêvant les enfants du chardonneret.
Connaissez-vous la druidesse, la fée qui, d'un coup de baguette, d'un
Abracadabra, fera de moi, éternelle âme en peine, un incarné? Sinon, moi,
conquérant du vide, je lance mes escouades d'éclairs de brume et de mirages à
l'assaut des galaxies.
Credits
Writer(s): Jacques Higelin, Patrick Giani
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