Le sourire des villes
Le sourire des villes est un sourire hypocrite
Narquois, distant ou un sourire triste
Rarement sincères, les gens s'protègent, ont un masque
S'cachent derrière pour garder un cœur intact
Les gens des mégapoles sont des salauds
Le manque d'air donne des airs d'megalo
Les dents qui brillent avec l'étincelle, le halo
Deviennent sous une carrure de calot
Le sourire aux lèvres, c'est pour les faibles, les ringards
Les vilaines, les chèvres font l'smile à l'américaine
Les gens cherchent la hive la sape soirée parisienne
Style qu'on matraque haut et balivernes
Ton sourire en dit long sur ton rapport au système
La touche de mépris, le dédain qui traîne
Chez les civiliser pour s'la jouer à la dure
L'arrogance décontractée a remplacé la carrure
La vanne, la méchanceté sortent comme par nature
Regard affiné, sourire d'la raclure
Aucune spontanéité, l'air du faire semblant
Rendent les semblables figés d'un sourire tranchant
On a tué fraîcheur, les visages sont contenus
Visages figés par peur de c'qu'on en conclut
Milliers d'sourires crispés déambulent et défilent
Le sourire d'la société, le sourire des villes
Le sourire, le sourire
Le sourire, le sourire
Le sourire, le sourire
Le sourire, le sourire
Dans nos sociétés, on dit qu'les filles sont hystériques
Si elles montrent pas une joie facile et plastique
Conséquence, la loi des hommes, des femmes plastiques
Pour des hommes insatisfaits, piégés à leurs propres manip'
Rieuses à nos vannes faciles, car faut faire semblant
Minons d'eux sans faire d'boucan avec de lèvres rouge sang
Dictature d'la gaieté, pour s'faire accepter
Rires faciles aux blagues pompeuses d'hommes faibles pétés
Passé l'adolescence, souvent les filles s'attristent
De voir que l'monde adulte n'est qu'une grosse mascarade
Leurs rôles se résument à c'lui d'la Joconde
Avec une grosse manucure et beaucoup trop d'mascara
Comme dans une pub, faut pas froncer l'sourcil
Le visage s'allume, et l'bonheur en roue libre
Elle sourit, elle minot, prend la pose, elle fou-rire
Personne voit qu'en coulisses, elle soupire
Dictature d'la gaieté, son visage est contenu
Visages figés par peur de c'qu'on en conclu
Milliers d'sourires crispés déambulent et défilent
Sourire d'la société, le sourire des villes
Le sourire, le sourire
Le sourire, le sourire
Le sourire, le sourire
Le sourire, le sourire
Narquois, distant ou un sourire triste
Rarement sincères, les gens s'protègent, ont un masque
S'cachent derrière pour garder un cœur intact
Les gens des mégapoles sont des salauds
Le manque d'air donne des airs d'megalo
Les dents qui brillent avec l'étincelle, le halo
Deviennent sous une carrure de calot
Le sourire aux lèvres, c'est pour les faibles, les ringards
Les vilaines, les chèvres font l'smile à l'américaine
Les gens cherchent la hive la sape soirée parisienne
Style qu'on matraque haut et balivernes
Ton sourire en dit long sur ton rapport au système
La touche de mépris, le dédain qui traîne
Chez les civiliser pour s'la jouer à la dure
L'arrogance décontractée a remplacé la carrure
La vanne, la méchanceté sortent comme par nature
Regard affiné, sourire d'la raclure
Aucune spontanéité, l'air du faire semblant
Rendent les semblables figés d'un sourire tranchant
On a tué fraîcheur, les visages sont contenus
Visages figés par peur de c'qu'on en conclut
Milliers d'sourires crispés déambulent et défilent
Le sourire d'la société, le sourire des villes
Le sourire, le sourire
Le sourire, le sourire
Le sourire, le sourire
Le sourire, le sourire
Dans nos sociétés, on dit qu'les filles sont hystériques
Si elles montrent pas une joie facile et plastique
Conséquence, la loi des hommes, des femmes plastiques
Pour des hommes insatisfaits, piégés à leurs propres manip'
Rieuses à nos vannes faciles, car faut faire semblant
Minons d'eux sans faire d'boucan avec de lèvres rouge sang
Dictature d'la gaieté, pour s'faire accepter
Rires faciles aux blagues pompeuses d'hommes faibles pétés
Passé l'adolescence, souvent les filles s'attristent
De voir que l'monde adulte n'est qu'une grosse mascarade
Leurs rôles se résument à c'lui d'la Joconde
Avec une grosse manucure et beaucoup trop d'mascara
Comme dans une pub, faut pas froncer l'sourcil
Le visage s'allume, et l'bonheur en roue libre
Elle sourit, elle minot, prend la pose, elle fou-rire
Personne voit qu'en coulisses, elle soupire
Dictature d'la gaieté, son visage est contenu
Visages figés par peur de c'qu'on en conclu
Milliers d'sourires crispés déambulent et défilent
Sourire d'la société, le sourire des villes
Le sourire, le sourire
Le sourire, le sourire
Le sourire, le sourire
Le sourire, le sourire
Credits
Writer(s): Jose Youcef Lamine Kaminsky
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