Les mots de la femme à genoux
Un sourire d'enfant sur un visage d'homme
Un désir suffocant, sur la peau de personne
Le baiser d'un souffle, plein de sincérité
Le déjà-vu d'un rêve, d'une saveur oubliée
L'écorce tombée d'un arbre, vulnérabilité
La douceur d'une fable, d'une plume affilée
Le bonheur illégal d'un tout premier baiser
La confusion palpable d'une dernière gorgée
À coup de galères et de surenchères
Ou simplement à coup de contes de fée
Tout l'monde un jour a sacrifié une partie de lui pour s'exaucer
Et puis après, que la vie reste la vie
Et l'inconnu, incompris
Enfouie au milieu des pleurs de ceux qui la prennent pour acquis
Que tous les trésors ensevelis, demeurent et ne soient jamais pris
Même dans les yeux d'un fou, même dans les mots de la femme à genoux
Que toutes les lumières sous les abat-jour
Que tous les mystères au creux des jours
Continuent de se faire la cour, continuent de se faire l'amour
Que tous les naufrages trouvent un rivage, que tous les déserts trouvent un geyser
Que tous les mystères demeurent mystères
Enfouis au milieu des millénaires
Et puis après, que la vie reste la vie
Et l'inconnu, incompris
Enfouie au milieu des pleurs de ceux qui la prennent pour acquis
Que tous les trésors ensevelis, demeurent et ne soient jamais pris
Même dans les yeux d'un fou, même dans les mots de la femme à genoux
Un désir suffocant, sur la peau de personne
Le baiser d'un souffle, plein de sincérité
Le déjà-vu d'un rêve, d'une saveur oubliée
L'écorce tombée d'un arbre, vulnérabilité
La douceur d'une fable, d'une plume affilée
Le bonheur illégal d'un tout premier baiser
La confusion palpable d'une dernière gorgée
À coup de galères et de surenchères
Ou simplement à coup de contes de fée
Tout l'monde un jour a sacrifié une partie de lui pour s'exaucer
Et puis après, que la vie reste la vie
Et l'inconnu, incompris
Enfouie au milieu des pleurs de ceux qui la prennent pour acquis
Que tous les trésors ensevelis, demeurent et ne soient jamais pris
Même dans les yeux d'un fou, même dans les mots de la femme à genoux
Que toutes les lumières sous les abat-jour
Que tous les mystères au creux des jours
Continuent de se faire la cour, continuent de se faire l'amour
Que tous les naufrages trouvent un rivage, que tous les déserts trouvent un geyser
Que tous les mystères demeurent mystères
Enfouis au milieu des millénaires
Et puis après, que la vie reste la vie
Et l'inconnu, incompris
Enfouie au milieu des pleurs de ceux qui la prennent pour acquis
Que tous les trésors ensevelis, demeurent et ne soient jamais pris
Même dans les yeux d'un fou, même dans les mots de la femme à genoux
Credits
Writer(s): Veilleux Steve
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2025 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.