Le Retour
Les yeux qui brillent
Le nez dans le vent
Ma main sur l'horizon
Une mélodie oubliée
Quelques cailloux dans mes souliers
Tiens! La terre est ronde
Pardonnez-moi, je viens au monde...
Ça sent le large
Où s'ouvre le fleuve
Je viens te retrouver
Traversant la mer infinie
D'un grand amour indéfini
Donne-moi du feu
Maintenant je sais ce que je veux
J'entends les enfants qui chantent au loin
Hier encore je chantais avec eux
J'ai vu des hommes, ils m'ont aimé moins
Leurs pas sont lourds et leurs coeurs silencieux...
Voici le temps
Ne doute plus
Elle te prend dans ses bras
Elle est belle et douloureuse
Elle nous caresse, elle nous secoue
Et toujours amoureuse
La vie est plus forte que nous...
J'entends les enfants qui chantent au loin
Hier encore je chantais avec eux
J'ai vu des hommes, ils m'ont aimé moins
Leurs pas sont lourds et leurs coeurs silencieux...
Près de ma porte à la noirceur
Elle frémit sa douceur
Je l'entends respirer
Moi qui fouillais les nuits brisées des capitales
Je t'ai suivie, je t'ai perdue combien de fois
Mais elle était tout près de moi...
Les yeux qui brillent
Le nez dans le vent
Ma main sur l'horizon
Une mélodie oubliée
Quelques cailloux dans mes souliers
Tiens! La terre est ronde
Pardonnez-moi, je viens au monde...
Le nez dans le vent
Ma main sur l'horizon
Une mélodie oubliée
Quelques cailloux dans mes souliers
Tiens! La terre est ronde
Pardonnez-moi, je viens au monde...
Ça sent le large
Où s'ouvre le fleuve
Je viens te retrouver
Traversant la mer infinie
D'un grand amour indéfini
Donne-moi du feu
Maintenant je sais ce que je veux
J'entends les enfants qui chantent au loin
Hier encore je chantais avec eux
J'ai vu des hommes, ils m'ont aimé moins
Leurs pas sont lourds et leurs coeurs silencieux...
Voici le temps
Ne doute plus
Elle te prend dans ses bras
Elle est belle et douloureuse
Elle nous caresse, elle nous secoue
Et toujours amoureuse
La vie est plus forte que nous...
J'entends les enfants qui chantent au loin
Hier encore je chantais avec eux
J'ai vu des hommes, ils m'ont aimé moins
Leurs pas sont lourds et leurs coeurs silencieux...
Près de ma porte à la noirceur
Elle frémit sa douceur
Je l'entends respirer
Moi qui fouillais les nuits brisées des capitales
Je t'ai suivie, je t'ai perdue combien de fois
Mais elle était tout près de moi...
Les yeux qui brillent
Le nez dans le vent
Ma main sur l'horizon
Une mélodie oubliée
Quelques cailloux dans mes souliers
Tiens! La terre est ronde
Pardonnez-moi, je viens au monde...
Credits
Writer(s): Pierre Flynn
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