Les Fleurs De Rue (R2L Groove)
Les fleurs de rue (R2L Groove)
Je plonge en elles sans même lire l'atmosphère
Combat chaque sommeil à trouver l'escorte
Venge l'édifice, planté dans les chairs
Visionne les plans d'intérieur et exhorte
Les douces et vertes, à s'hérisser les nerfs
À jouer l'étincelle, à frôler l'aorte
Elles se détachent pubères, sans racines
Avec leurs chambres de détention offertes
Je cueille des fleurs de rue sans sourire
Et les mauvaises catins, les traîtres m'emportent
J'ai juste un écho dans la tête
Juste un écho dans la tête
En souvenir de loisirs carnassiers
De la lune entre ses dents satisfaites
Pour les avaleuses de fumée, j'expire
Le vit sécrète, la mort petite en elles
Dans les ventres des frêles machines à soupirs
S'entend toujours une voix qui reflète
Je cueille des fleurs de rue, sans sourire
Et les mauvaises catins, les traîtres m'emportent
J'ai juste un écho dans la tête
Juste un écho dans la tête
Les bouquets fanés dans les coins s'attirent
Échangent leurs parfums puis se rejettent
Sans essence sincère pour les guérir
Un lot de soucis que le pavot hébète
Un flux inodore que les nez aspirent
De nuit toujours, les feuilles défaites
Et coule encore, la sève après rugir
De l'étamine, sur les peaux végète
Je cueille des fleurs de rue, sans sourire
Et les mauvaises catins, les traîtres m'emportent
J'ai juste un écho dans la tête
Juste un écho dans la tête
Je plonge en elles sans même lire l'atmosphère
Combat chaque sommeil à trouver l'escorte
Venge l'édifice, planté dans les chairs
Visionne les plans d'intérieur et exhorte
Les douces et vertes, à s'hérisser les nerfs
À jouer l'étincelle, à frôler l'aorte
Elles se détachent pubères, sans racines
Avec leurs chambres de détention offertes
Je cueille des fleurs de rue sans sourire
Et les mauvaises catins, les traîtres m'emportent
J'ai juste un écho dans la tête
Juste un écho dans la tête
En souvenir de loisirs carnassiers
De la lune entre ses dents satisfaites
Pour les avaleuses de fumée, j'expire
Le vit sécrète, la mort petite en elles
Dans les ventres des frêles machines à soupirs
S'entend toujours une voix qui reflète
Je cueille des fleurs de rue, sans sourire
Et les mauvaises catins, les traîtres m'emportent
J'ai juste un écho dans la tête
Juste un écho dans la tête
Les bouquets fanés dans les coins s'attirent
Échangent leurs parfums puis se rejettent
Sans essence sincère pour les guérir
Un lot de soucis que le pavot hébète
Un flux inodore que les nez aspirent
De nuit toujours, les feuilles défaites
Et coule encore, la sève après rugir
De l'étamine, sur les peaux végète
Je cueille des fleurs de rue, sans sourire
Et les mauvaises catins, les traîtres m'emportent
J'ai juste un écho dans la tête
Juste un écho dans la tête
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