La fleur
Je l'ai cueillie, comme on cueille un cactus
Ne sachant ce que j'encourais malgré mon âge
Je n'ai pas trop usé des précautions d'usage
Et c'est sans gants, la peau douce et l'œil aimable
Que j'ai commis naïvement l'irréparable
Pour embrasser son cœur, j'ai cueilli la fleur
On m'avait pourtant mis en garde
Sans vouloir te décourager
Il faudra souvent l'arroser
"Ça vous regarde?", l'avais-je rétorqué
Moi, j'ai cueilli la fleur, hourra
Advienne que pourra
Si ces conseils alarmistes habillés de jalousie
N'ont trouvé pour toute sagesse
Qu'un élégant mépris
C'est que ces piètres botanistes
Avaient si peu dans leur vie même
Entendu et j'en suis triste
De doux, je t'aime
Moi, j'ai cueilli la fleur, hourra
Advienne que pourra
Je l'ai porté pendant des mois
À mon col d'astrakan
Je paradais fier et content
Dans les rues de la ville
Et dans les yeux de mes amis
La fleur imprimait son reflet
J'avoue que j'en étais ravi
On l'aimait
J'avais cueilli la fleur, hourra
Advienne que pourra
Mais je ne suis pas le seul ici
À m'intéresser au pistil
Je ne suis pas le seul animal
Attiré par de beaux pétales
Et jusqu'où l'on ne va jamais
Leurs doux parfums se distillent
"Alors un beau jour" se disent-elles
On se fait la malle
J'avais cueilli la fleur, hourra
Advienne que pourra
Advienne que pourra
Ne sachant ce que j'encourais malgré mon âge
Je n'ai pas trop usé des précautions d'usage
Et c'est sans gants, la peau douce et l'œil aimable
Que j'ai commis naïvement l'irréparable
Pour embrasser son cœur, j'ai cueilli la fleur
On m'avait pourtant mis en garde
Sans vouloir te décourager
Il faudra souvent l'arroser
"Ça vous regarde?", l'avais-je rétorqué
Moi, j'ai cueilli la fleur, hourra
Advienne que pourra
Si ces conseils alarmistes habillés de jalousie
N'ont trouvé pour toute sagesse
Qu'un élégant mépris
C'est que ces piètres botanistes
Avaient si peu dans leur vie même
Entendu et j'en suis triste
De doux, je t'aime
Moi, j'ai cueilli la fleur, hourra
Advienne que pourra
Je l'ai porté pendant des mois
À mon col d'astrakan
Je paradais fier et content
Dans les rues de la ville
Et dans les yeux de mes amis
La fleur imprimait son reflet
J'avoue que j'en étais ravi
On l'aimait
J'avais cueilli la fleur, hourra
Advienne que pourra
Mais je ne suis pas le seul ici
À m'intéresser au pistil
Je ne suis pas le seul animal
Attiré par de beaux pétales
Et jusqu'où l'on ne va jamais
Leurs doux parfums se distillent
"Alors un beau jour" se disent-elles
On se fait la malle
J'avais cueilli la fleur, hourra
Advienne que pourra
Advienne que pourra
Credits
Writer(s): Bertrand Belin
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