Diaspora
Je suis l'Afrique, je suis la mère
Je suis le sang de ton sang
Je suis l'Afrique et je suis femme
J'ai mis au monde tes enfants
Je suis l'Afrique, je suis amour
Je suis riche de ta couleur
Dans le passé, tu voulais croire
Que ma parole était sacrée.
Sur les chemins de poussière
Tu n'as laissé qu'un pas d'errant
Et dans mon cœur et dans mon âme
Ton souvenir me sert d'amant.
De mon corps aux seins si lourds
Tu as oublié la chaleur
Et dans un coin de ta mémoire
Tu gardes en toi mon goût sucré.
Je suis l'Afrique, je suis ta terre
Je suis le fleuve et la forêt
Mais au village de ton père
Ton nom commence à s'oublier
Je suis l'Afrique, je suis sagesse
D'un ancêtre sans avenir
Tu crois qu'ailleurs tout est richesse
Alors je t'ai laissé partir.
Mais sur les chemins de poussière
Où tu t'égares de temps en temps
J'ai même entendu tes prières
Toi qui ne priais plus souvent.
Des moments de notre histoire
Tu as oublié les bonheurs.
Et dans un coin de ta mémoire
Tu n'aimeras pas que je meurs.
Je suis l'Afrique, je suis la mère
Je ne sens pas tourner le vent
Je vois toujours sur les frontières,
Passer la horde des migrants
Sur tous mes chemins de poussières
La pluie ne tombe plus souvent
Et quand s'assèchent mes rivières
Qui peut retenir mes enfants?
Sur tous mes chemins de poussière
Tu n'as laissé qu'un pas d'errant
Et dans mon cœur et dans mon âme
Ton souvenir me sert d'amant.
Je suis le sang de ton sang
Je suis l'Afrique et je suis femme
J'ai mis au monde tes enfants
Je suis l'Afrique, je suis amour
Je suis riche de ta couleur
Dans le passé, tu voulais croire
Que ma parole était sacrée.
Sur les chemins de poussière
Tu n'as laissé qu'un pas d'errant
Et dans mon cœur et dans mon âme
Ton souvenir me sert d'amant.
De mon corps aux seins si lourds
Tu as oublié la chaleur
Et dans un coin de ta mémoire
Tu gardes en toi mon goût sucré.
Je suis l'Afrique, je suis ta terre
Je suis le fleuve et la forêt
Mais au village de ton père
Ton nom commence à s'oublier
Je suis l'Afrique, je suis sagesse
D'un ancêtre sans avenir
Tu crois qu'ailleurs tout est richesse
Alors je t'ai laissé partir.
Mais sur les chemins de poussière
Où tu t'égares de temps en temps
J'ai même entendu tes prières
Toi qui ne priais plus souvent.
Des moments de notre histoire
Tu as oublié les bonheurs.
Et dans un coin de ta mémoire
Tu n'aimeras pas que je meurs.
Je suis l'Afrique, je suis la mère
Je ne sens pas tourner le vent
Je vois toujours sur les frontières,
Passer la horde des migrants
Sur tous mes chemins de poussières
La pluie ne tombe plus souvent
Et quand s'assèchent mes rivières
Qui peut retenir mes enfants?
Sur tous mes chemins de poussière
Tu n'as laissé qu'un pas d'errant
Et dans mon cœur et dans mon âme
Ton souvenir me sert d'amant.
Credits
Writer(s): Henri Dikongue
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