Quand je serai père
On pousse dans un jardin où rien ne nous manque
De l'eau, du feu, du vin autant qu'on en demande
Nos feuilles font ce que nous mangeons
Et les gens seuls sont ce que nous laissons
De nos idées, la seule qui compte est
De pousser plus vite que notre ombre
Et je le sais, tu le sais, on ne sait que céder
Mais on laisse à l'après que ce que l'on a pas fait
Quand je serai père mes chers enfants
Ne me demandez pas où est passé l'automne
Et puis l'hiver et le printemps
Épargnez-moi
Quand je serai père mes chers enfants
Je ne dirai pas que j'en ai fait des tonnes
Le temps d'hier fait le suivant
Épargnez-moi
Oh oh oh
Oh oh oh
Oh oh oh
Il nous est arrivé que quelques arbres menacent
De changer le jardin et d'en effacer les traces
Mais changer n'enchante jamais
Qui comme gelé ne peut pas bouger
De nos idées, la seule qui vaille est
De ne jamais passer pour un valet
Et j'oublie, tu l'oublies que rien ne vaut la vie
Et la vie vaut par ce qu'on laisse à l'avenir
Quand je serai père mes chers enfants
Ne me demandez pas où est passé l'automne
Et puis l'hiver et le printemps
Épargnez-moi
Quand je serai père mes chers enfants
Je ne dirai pas que j'en ai fait des tonnes
Le temps d'hier fait le suivant
Épargnez-moi
Oh oh oh
Oh oh oh
Oh oh oh
Oh oh oh
Oh oh oh
Oh oh oh
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais vu l'espoir
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais vu l'espoir
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais vu l'espoir
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais vu l'espoir
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais vu l'espoir
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais vu l'espoir
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
Quand je serai père mes chers enfants
Ne me demandez pas où est passé l'automne
Et puis l'hiver et le printemps
Épargnez-moi
Quand je serai père mes chers enfants
Je ne dirai pas que j'en ai fait des tonnes
Le temps d'hier fait le suivant
Épargnez-moi
Épargnez-moi
De l'eau, du feu, du vin autant qu'on en demande
Nos feuilles font ce que nous mangeons
Et les gens seuls sont ce que nous laissons
De nos idées, la seule qui compte est
De pousser plus vite que notre ombre
Et je le sais, tu le sais, on ne sait que céder
Mais on laisse à l'après que ce que l'on a pas fait
Quand je serai père mes chers enfants
Ne me demandez pas où est passé l'automne
Et puis l'hiver et le printemps
Épargnez-moi
Quand je serai père mes chers enfants
Je ne dirai pas que j'en ai fait des tonnes
Le temps d'hier fait le suivant
Épargnez-moi
Oh oh oh
Oh oh oh
Oh oh oh
Il nous est arrivé que quelques arbres menacent
De changer le jardin et d'en effacer les traces
Mais changer n'enchante jamais
Qui comme gelé ne peut pas bouger
De nos idées, la seule qui vaille est
De ne jamais passer pour un valet
Et j'oublie, tu l'oublies que rien ne vaut la vie
Et la vie vaut par ce qu'on laisse à l'avenir
Quand je serai père mes chers enfants
Ne me demandez pas où est passé l'automne
Et puis l'hiver et le printemps
Épargnez-moi
Quand je serai père mes chers enfants
Je ne dirai pas que j'en ai fait des tonnes
Le temps d'hier fait le suivant
Épargnez-moi
Oh oh oh
Oh oh oh
Oh oh oh
Oh oh oh
Oh oh oh
Oh oh oh
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais vu l'espoir
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais vu l'espoir
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais vu l'espoir
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais vu l'espoir
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais vu l'espoir
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais vu l'espoir
J'aurais pu, j'aurais dû, j'aurais eu le salut
Quand je serai père mes chers enfants
Ne me demandez pas où est passé l'automne
Et puis l'hiver et le printemps
Épargnez-moi
Quand je serai père mes chers enfants
Je ne dirai pas que j'en ai fait des tonnes
Le temps d'hier fait le suivant
Épargnez-moi
Épargnez-moi
Credits
Writer(s): Clement Ducol, Vianney Bureau
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