L'éternel féminin (Edit)
Dans mon sous-sol crasseux où brûlent mes fourneaux
Où les âmes damnées grillent de bas en haut
Regardez qui est là, qui attise les flammes?
Régnant sur les Enfers, le Diable est une femme
Rien d'étonnant n'est-ce pas? Des brunes jusqu'aux blondes
Par elles sont advenues tous les malheurs du monde
Le Diable est une femme et vous, vous en doutiez
La place d'une femme n'est-elle pas au foyer?
Sur mon lit calciné
Lascive et si cruelle
Comment pour m'invoquer
Faut-il que l'on m'appelle?
Mes diables et mes hommes
Et Dieu même en personne
Tout simplement me nomment
Patronne
Depuis tant de prophètes, de savants vertueux
L'équation est logique, c'est la preuve par deux
On l'a tant proclamé sur un ton formidable
Le Diable est une femme, les femmes, c'est le Diable
Et qu'elles soient victimes ou qu'elles soient complices
De leurs mâles et fils et de leurs maléfices
Frappez donc les premiers, talibans ordinaires
Ces démons adorés, car il faut les faire taire
Sur mon lit calciné
Lascive et si cruelle
Messieurs, venez m'aider
À ôter mes dentelles
Dans vos brûlants émois
Ainsi que je l'ordonne
Allez, appelez-moi
Patronne
Quel que soit le brigand, il y a la corruptrice
Consciente du pouvoir qui dort entre ses cuisses
Qui susurre les ordres et les avis funestes?
Vous, mes surs, les salopes, les putains et les pestes
Derrière chaque type sans foi, ni loi ni âme
Si vous cherchez le Diable, vous trouverez la femme
La gueuse, la traîtresse, la garce, la sorcière
La fille de Borgia et la maman d'Hitler
Sur mon lit calciné
Lascive et si cruelle
Je vous attends, venez
Mes belles demoiselles
Que votre dernier mot
Que la vie abandonne
Soit dans un soubresaut
Patronne
En attendant, je compte vos crimes et vos bassesses
Tous vos pieux mensonges et vos histoires de fesses
J'encourage le vice, je provoque des guerres
Je dirige le monde et Dieu me laisse faire
Parce que Dieu se fout bien de vos petits tourments
Avec ses anges blancs dans son blanc firmament
Dieu est tellement bel, c'est une femme généreuse
Mais ne vous y fiez pas, ça n'est qu'une allumeuse
Sur mon lit calciné
Lascive et si cruelle
Pour fêter vos péchés
Je réponds à l'appel
Et pour me faire venir
D'une voix qui frissonne
Il suffit de redire
Patronne
Où les âmes damnées grillent de bas en haut
Regardez qui est là, qui attise les flammes?
Régnant sur les Enfers, le Diable est une femme
Rien d'étonnant n'est-ce pas? Des brunes jusqu'aux blondes
Par elles sont advenues tous les malheurs du monde
Le Diable est une femme et vous, vous en doutiez
La place d'une femme n'est-elle pas au foyer?
Sur mon lit calciné
Lascive et si cruelle
Comment pour m'invoquer
Faut-il que l'on m'appelle?
Mes diables et mes hommes
Et Dieu même en personne
Tout simplement me nomment
Patronne
Depuis tant de prophètes, de savants vertueux
L'équation est logique, c'est la preuve par deux
On l'a tant proclamé sur un ton formidable
Le Diable est une femme, les femmes, c'est le Diable
Et qu'elles soient victimes ou qu'elles soient complices
De leurs mâles et fils et de leurs maléfices
Frappez donc les premiers, talibans ordinaires
Ces démons adorés, car il faut les faire taire
Sur mon lit calciné
Lascive et si cruelle
Messieurs, venez m'aider
À ôter mes dentelles
Dans vos brûlants émois
Ainsi que je l'ordonne
Allez, appelez-moi
Patronne
Quel que soit le brigand, il y a la corruptrice
Consciente du pouvoir qui dort entre ses cuisses
Qui susurre les ordres et les avis funestes?
Vous, mes surs, les salopes, les putains et les pestes
Derrière chaque type sans foi, ni loi ni âme
Si vous cherchez le Diable, vous trouverez la femme
La gueuse, la traîtresse, la garce, la sorcière
La fille de Borgia et la maman d'Hitler
Sur mon lit calciné
Lascive et si cruelle
Je vous attends, venez
Mes belles demoiselles
Que votre dernier mot
Que la vie abandonne
Soit dans un soubresaut
Patronne
En attendant, je compte vos crimes et vos bassesses
Tous vos pieux mensonges et vos histoires de fesses
J'encourage le vice, je provoque des guerres
Je dirige le monde et Dieu me laisse faire
Parce que Dieu se fout bien de vos petits tourments
Avec ses anges blancs dans son blanc firmament
Dieu est tellement bel, c'est une femme généreuse
Mais ne vous y fiez pas, ça n'est qu'une allumeuse
Sur mon lit calciné
Lascive et si cruelle
Pour fêter vos péchés
Je réponds à l'appel
Et pour me faire venir
D'une voix qui frissonne
Il suffit de redire
Patronne
Credits
Writer(s): Juliette Noureddine
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