Ton printemps
Comme un beau portrait accroché sur le mur d'un autre couloir gris
Comme on s'effaçait, le décor s'empressait de combler le vide
Comme si j'espionnais, un peu résigné à être inaperçu
Et je me rappelais, et je me noyais encore dans la peinture
J'ai passé à l'est dans tes vœux, j'ai pris la poussière à tes yeux
À rester figé dans le sable, paralysé, comme le plâtre
Moi, l'épouvantail animé au besoin, comme un autre pantin
À user le plancher, à suivre le sentier comme on fait sa ronde
Je suis acclimaté et je n'attends plus la cloche pour saliver
À dormir en marchant,
Le son de ton réveil qui tonne comme un printemps
J'ai passé à l'est dans tes vœux, j'ai pris la poussière à tes yeux
À rester figé dans le sable, paralysé, comme le plâtre
Comme un beau portrait, qu'on ne voit plus à force de passer trop près
Comme on s'effaçait, comme on se diluait devant les reflets
Comme si j'espionnais, moi l'épouvantail usé par le vent
Et je me rappelais l'odeur de ton réveil qui annonce le printemps
J'ai passé à l'est dans tes vœux, j'ai pris la poussière à tes yeux
À rester figé dans le sable, paralysé, comme le plâtre
J'ai passé à l'est dans tes vœux, j'ai pris la poussière à tes yeux
Comme on s'effaçait, le décor s'empressait de combler le vide
Comme si j'espionnais, un peu résigné à être inaperçu
Et je me rappelais, et je me noyais encore dans la peinture
J'ai passé à l'est dans tes vœux, j'ai pris la poussière à tes yeux
À rester figé dans le sable, paralysé, comme le plâtre
Moi, l'épouvantail animé au besoin, comme un autre pantin
À user le plancher, à suivre le sentier comme on fait sa ronde
Je suis acclimaté et je n'attends plus la cloche pour saliver
À dormir en marchant,
Le son de ton réveil qui tonne comme un printemps
J'ai passé à l'est dans tes vœux, j'ai pris la poussière à tes yeux
À rester figé dans le sable, paralysé, comme le plâtre
Comme un beau portrait, qu'on ne voit plus à force de passer trop près
Comme on s'effaçait, comme on se diluait devant les reflets
Comme si j'espionnais, moi l'épouvantail usé par le vent
Et je me rappelais l'odeur de ton réveil qui annonce le printemps
J'ai passé à l'est dans tes vœux, j'ai pris la poussière à tes yeux
À rester figé dans le sable, paralysé, comme le plâtre
J'ai passé à l'est dans tes vœux, j'ai pris la poussière à tes yeux
Credits
Writer(s): Maxime Viens, Jean-sébastien Montminy, Julien Vezina, David Jobin Niquette
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2025 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.