Bons baisers de Marseille
A l'encre bleu
d'un vieux stylo,
Au bord de l'eau,
Je t'écris un mot.
Rien qu'un oiseau
qui me surveille,
je pense à toi,
Bons baisers de Marseille.
A l'encre bleu
d'un vieux stylo,
Au bord de l'eau,
Je t'écris un mot.
Rien qu'un oiseau
qui me surveille,
Je pense à toi,
Bons baisers de Marseille.
Si je pouvais seulement,
Rien que pour un court moment,
T'envoyer un coin d'azur sans nuage.
Te mettre dans un colis,
Un tout petit peu d'ici,
Un peut de vent et d'odeur du rivage.
A l'encre bleu
d'un vieux stylo,
Au bord de l'eau,
Je t'écris un mot.
Rien qu'un oiseau
qui me surveille,
Je pense à toi,
Bons baisers de Marseille.
Je connais bien cet endroit,
Où l'on marche dans le froid,
Où l'on se bat pour gagner sa pitance,
Où le soir au creux de lit,
On se dit: "quelle folie,
d'avoir laissé les couleurs de l'enfance".
musique
A l'encre bleu
d'un vieux stylo,
Au bord de l'eau,
Je t'écris un mot.
Rien qu'un oiseau
qui me surveille,
Je pense à toi,
Bons baisers de Marseille.
Je le sais tu n'y peux rien,
Tu mènes une vie de chien.
Faut s'exiler, c'est devenu la règle.
Si tu pouvais tout lâcher,
Je partirais te chercher,
Te ramener au pays des collègues.
d'un vieux stylo,
Au bord de l'eau,
Je t'écris un mot.
Rien qu'un oiseau
qui me surveille,
je pense à toi,
Bons baisers de Marseille.
A l'encre bleu
d'un vieux stylo,
Au bord de l'eau,
Je t'écris un mot.
Rien qu'un oiseau
qui me surveille,
Je pense à toi,
Bons baisers de Marseille.
Si je pouvais seulement,
Rien que pour un court moment,
T'envoyer un coin d'azur sans nuage.
Te mettre dans un colis,
Un tout petit peu d'ici,
Un peut de vent et d'odeur du rivage.
A l'encre bleu
d'un vieux stylo,
Au bord de l'eau,
Je t'écris un mot.
Rien qu'un oiseau
qui me surveille,
Je pense à toi,
Bons baisers de Marseille.
Je connais bien cet endroit,
Où l'on marche dans le froid,
Où l'on se bat pour gagner sa pitance,
Où le soir au creux de lit,
On se dit: "quelle folie,
d'avoir laissé les couleurs de l'enfance".
musique
A l'encre bleu
d'un vieux stylo,
Au bord de l'eau,
Je t'écris un mot.
Rien qu'un oiseau
qui me surveille,
Je pense à toi,
Bons baisers de Marseille.
Je le sais tu n'y peux rien,
Tu mènes une vie de chien.
Faut s'exiler, c'est devenu la règle.
Si tu pouvais tout lâcher,
Je partirais te chercher,
Te ramener au pays des collègues.
Credits
Writer(s): François Ridel, Stéphane Attard
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