LEtTRe À SIMONE

J'ai pris un jet privé pour venir te voir hier soir dans un cauchemar d'un rêve que j'ai concocté
Tu chantes une note bleue vieux jeu chiffre chanceux 13 peau beige les manèges de la haute société
Fou comment petite ville deviendra grande ça fait bientôt un an que j'ai pas vu ta figurine
Et puis quand j'y pense vraiment, on n'a fait que tuer le temps
En essayant de se ressembler
Des voyages imaginaires, des pensées interstellaires
Je suis parti sans arriver

À qui la faute, qui la faute, qui la faute, qui la faute
Dans la guerre des doigts pointés c'est toujours la faute de l'autre
Damn gurl t'es la première à m'appeler babe
Uh huh, spread love it's a Brooklyn thing
Dum dum dada dum dada dum dadada
Ta vie dans des boîtes, une chambre sans rideaux
Dénudée de dos, la, si, les yeux mi-clos
Je fume doucement, pour marcher à reculons
Me voilà éclaté comme une bulle de savon
Je ferme les yeux pour revoir ton visage
Laisser ma mémoire brûler ton image
Pour toi j'ai été chandail blanc sous la pluie
La buée qu'on essuie, le mensonge de la nuit
Jalousie du soleil qui colorie tes joues
Apres une soirée dans le bus aux yeux rouges

Et puis quand j'y pense vraiment
J'ai fait que tuer le temps
En essayant de te ressembler
Je me demande combien de garçons
Ça a pris pour que mon nom n'apparaisse plus dans tes pensées

Paraît que je me suis noyé dans les yeux que tu portais le septième soir au bord des marches station Berri
Ce qui a été n'est plus que deux billets vite faits pour jamais dire le jour ce qu'on se dit la nuit
Fou comment petite ville deviendra grande ça fait bientôt un an que j'ai pas vu ta figurine



Credits
Writer(s): Marc Vincent, Michael Christopher Mlakar, Clement Legare, Kazi Adel, Desilets Emile, Pascal Boisseau
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