L'araignée

J'entends comme de très longs soupirs
C'est surement moi
J'entends comme de très longs soupirs
Peut-être toi
Mais à qui pourrais-je dire
Comme tu manques, comme tu manques
Qu'est-ce-qui pourrait être pire que ce vide, que ce manque
A me demander comment tu vis, y'a quoi là-bas?
A me demander si tu souris, c'est beau là-bas?
Si t'es heureux, c'est très bien, tu souris, je sourie.
Si t'es heureux c'est tant mieux, tu souris, je sourie.

Refrain:
Je tisserai nos liens, comme une araignée.
Chacune de mes toiles, je les pose sur toi.
Je tisserai nos liens, jusqu'au dernier été.
Des larmes, tu vois, encore et toujours.

Dis, est-ce-que le soleil brille toujours, du haut des toits?
Je m'demande à quoi ça peut bien sembler, tu m'enmèneras.
Quand je f'rais des rêves la nuit, tu viendras, me montrer.
Et je n'dirais rien, promis, faudra me rassurer.

Tout n'étais pas toujours rose ici, quand t'étais là.
Mais me dire que j'te reverrais plus, c'est peut-être ça qui me fait couler des larmes, ça s'écroule et ça roule, qui me fait tomber des nues, je m'écroule et je coule.

Refrain:
Je tisserai nos liens, comme une araignée.
Chacune de mes toiles, je les pose sur toi.
Je tisserai nos liens, jusqu'au dernier été.
Des larmes, tu vois, encore et toujours.
Tu restes là, encore et toujours.
Tu reste ici, toujours et tout l'temps.
Tu restes toujours, encore et d'ailleurs je pense à toi encore et toujours.



Credits
Writer(s): Valentin Montu, Caroline Bayendrian
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