Sourire en sortant
Je n'sais pas si c'est l'heure ou juste une sensation
Je quitterais bien cette terre le temps d'un frisson
Tu m'as dit ça hier devant l'appartement
Je n'ai pas su quoi faire, j'ai souri en sortant
J'ai souri en sortant
Dans la bouche du métro, un couple s'embrassait
J'ai fait de ne rien voir, j'ai mangé tout l'été
La saison est passé comme tu avais raison
Vivre en apesanteur, c'est beaucoup plus léger
C'est beaucoup plus léger
Depuis que t'es parti, j'ai laissé la porte ouverte
A tous les prophétie, a toutes les défaites
Depuis que je t'oublie, je vis sous la tempête
Et je pousse des cris, au milieu de la fête
Et je pousse des cris, au milieu de la fête
Tu es très en retard, on pourrait reporter
Rendez-vous impossible, je n'ai eu le choix
Tu m'as dit cinq cent fois, faut-il encore te croire
Et je n'ai plus envie, plus envie de te voir
Plus envie, de te voir
Je n'imaginais pas mon amour se tasser
Au fond d'un dernier verre à la fin d'une soirée
La saison est passée comme tu avais raison
Vivre en apesanteur, c'est beaucoup plus léger
C'est beaucoup plus léger
Depuis que t'es parti, j'ai laissé la porte ouverte
A tous les prophéties, a toutes les défaites
Depuis que je t'oublie, je vis sous la tempête
Et je pousse des cris, au milieu de la fête
Et je pousse des cris, au milieu de la fête
Je quitterais bien cette terre le temps d'un frisson
Tu m'as dit ça hier devant l'appartement
Je n'ai pas su quoi faire, j'ai souri en sortant
J'ai souri en sortant
Dans la bouche du métro, un couple s'embrassait
J'ai fait de ne rien voir, j'ai mangé tout l'été
La saison est passé comme tu avais raison
Vivre en apesanteur, c'est beaucoup plus léger
C'est beaucoup plus léger
Depuis que t'es parti, j'ai laissé la porte ouverte
A tous les prophétie, a toutes les défaites
Depuis que je t'oublie, je vis sous la tempête
Et je pousse des cris, au milieu de la fête
Et je pousse des cris, au milieu de la fête
Tu es très en retard, on pourrait reporter
Rendez-vous impossible, je n'ai eu le choix
Tu m'as dit cinq cent fois, faut-il encore te croire
Et je n'ai plus envie, plus envie de te voir
Plus envie, de te voir
Je n'imaginais pas mon amour se tasser
Au fond d'un dernier verre à la fin d'une soirée
La saison est passée comme tu avais raison
Vivre en apesanteur, c'est beaucoup plus léger
C'est beaucoup plus léger
Depuis que t'es parti, j'ai laissé la porte ouverte
A tous les prophéties, a toutes les défaites
Depuis que je t'oublie, je vis sous la tempête
Et je pousse des cris, au milieu de la fête
Et je pousse des cris, au milieu de la fête
Credits
Writer(s): Frederic Fortuny, Emmanuel Da Silva
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2025 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.