Nina
Ça fait bientôt des mois
J'entends parler de toi
Et que grandit en moi lentement ton mystère
Je ne sais quoi
Comme un pressentiment
Quand le vent se lève juste avant la tempête
Entre nous pas de sang
De fluide ni vraiment
De lien, aucun chaîne que ne vise une loi
Mais l'émoi depuis la confession
À la révélation
Éveille le soupçon d'un étrange avenir à venir
Mais sans avoir jamais appris
Ce prénom que l'on te donnait
Oui, j'en venais à redouter
Pouvoir un jour nous reconnaître
Des voyelles, des consonnes qui dérobent
Et rien qui ne me laisse deviner
Ni l'éclat d'une voix ni l'éclair d'une photographie
Noir et blanche on devine
Une silhouette à demi endormie
Et de loin une main
Mais sans avoir jamais appris
Ce prénom que l'on te donnait
Et à force d'imaginer
Mille visages et plus encore
Oui, j'en venais à redouter
Pouvoir un jour nous reconnaître
A vrai dire, ne crois pas
Que ça pouvait durer
Tu le sauras bientôt
Toute chose a une fin et enfin
Un jour qui se termine
Des cris et des soupirs
Rien que je n'imagine et déjà, on se dit
Que sans avoir jamais appris
Ce prénom que l'on te donnait
Mais qu'à force de regarder
Mille visages que prendrait
Le temps à venir dessiner
Ton regard, un jour arriverait
Où toutes ces questions sans réponses
Ne pourraient être retrouvées
J'entends parler de toi
Et que grandit en moi lentement ton mystère
Je ne sais quoi
Comme un pressentiment
Quand le vent se lève juste avant la tempête
Entre nous pas de sang
De fluide ni vraiment
De lien, aucun chaîne que ne vise une loi
Mais l'émoi depuis la confession
À la révélation
Éveille le soupçon d'un étrange avenir à venir
Mais sans avoir jamais appris
Ce prénom que l'on te donnait
Oui, j'en venais à redouter
Pouvoir un jour nous reconnaître
Des voyelles, des consonnes qui dérobent
Et rien qui ne me laisse deviner
Ni l'éclat d'une voix ni l'éclair d'une photographie
Noir et blanche on devine
Une silhouette à demi endormie
Et de loin une main
Mais sans avoir jamais appris
Ce prénom que l'on te donnait
Et à force d'imaginer
Mille visages et plus encore
Oui, j'en venais à redouter
Pouvoir un jour nous reconnaître
A vrai dire, ne crois pas
Que ça pouvait durer
Tu le sauras bientôt
Toute chose a une fin et enfin
Un jour qui se termine
Des cris et des soupirs
Rien que je n'imagine et déjà, on se dit
Que sans avoir jamais appris
Ce prénom que l'on te donnait
Mais qu'à force de regarder
Mille visages que prendrait
Le temps à venir dessiner
Ton regard, un jour arriverait
Où toutes ces questions sans réponses
Ne pourraient être retrouvées
Credits
Writer(s): Aurelie Beatrice Alain Mueller, Catherine De Biasio
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