Nous vivions deux (feat. Serge Rezvani)
(Serge Rezvani)
Nous vivions deux, si seuls dans la vie
Nous nous aimions, le reste, le reste importait peu, importait peu
Les soirs d'été, par la fenêtre ouverte
Paris pour nous déployait tous ses feux
Jour après jour, la vie n'était que jeux
Rires et fous rires, amour et rires fous
Et les voisins irrités de nous voir heureux de tout
Frappaient aux murs de notre chambre
Et quand l'hiver, le gel envahissait de rameaux flous
La fenêtre trop blanche, dans notre lit, bien entre nous
Nous restions tout le jour, mieux qu'en été nus sous les branches
Nous vivions deux, si seuls dans la vie
Nous nous aimions, le reste, le reste importait peu, importait peu
Les soirs d'été, par la fenêtre ouverte
Paris pour nous déployait tous ses feux
Comme deux miroirs aux reflets infinis
Et chatoyants, nous vivions face à face
Tout à la joie d'être nouveaux amants
Qui ne se lasseront jamais de vivre à deux
De temps en temps, le soir, un ami cher
Un vieil ami, un vieux copain d'enfance
Tombait chez nous, les bras chargés de fleurs
C'était la chance d'un peu d'argent, d'un bon repas
Nous vivions deux, si seuls dans la vie
Nous nous aimions, le reste, le reste importait peu, importait peu
Les soirs d'été, par la fenêtre ouverte
Paris pour nous déployait tous ses feux.
Nous vivions deux, si seuls dans la vie
Nous nous aimions, le reste, le reste importait peu, importait peu
Les soirs d'été, par la fenêtre ouverte
Paris pour nous déployait tous ses feux
Jour après jour, la vie n'était que jeux
Rires et fous rires, amour et rires fous
Et les voisins irrités de nous voir heureux de tout
Frappaient aux murs de notre chambre
Et quand l'hiver, le gel envahissait de rameaux flous
La fenêtre trop blanche, dans notre lit, bien entre nous
Nous restions tout le jour, mieux qu'en été nus sous les branches
Nous vivions deux, si seuls dans la vie
Nous nous aimions, le reste, le reste importait peu, importait peu
Les soirs d'été, par la fenêtre ouverte
Paris pour nous déployait tous ses feux
Comme deux miroirs aux reflets infinis
Et chatoyants, nous vivions face à face
Tout à la joie d'être nouveaux amants
Qui ne se lasseront jamais de vivre à deux
De temps en temps, le soir, un ami cher
Un vieil ami, un vieux copain d'enfance
Tombait chez nous, les bras chargés de fleurs
C'était la chance d'un peu d'argent, d'un bon repas
Nous vivions deux, si seuls dans la vie
Nous nous aimions, le reste, le reste importait peu, importait peu
Les soirs d'été, par la fenêtre ouverte
Paris pour nous déployait tous ses feux.
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