Elle voudrait

Elle voudrait du soleil, des étoiles, des étincelles
Un ciel aussi bleu, un azur absolu, éternel
Un havre de paix qu'il y en ait pas deux pareils
Elle voudrait au final, qu'on s'y retrouve, qu'on s'y réveille
Qu'on puisse tout à coup décider
De déranger, de décorer
Ou de lâcher dans la nature
Nos armes et nos couvertures
Elle voudrait de la musique pour réchauffer vos oreilles
Elle voudrait de la magie pour que tout le monde s'émerveille
Elle voudrait
cette opportunité
Elle voudrait
pouvoir en profiter
Elle voudrait
en être persuadée
Elle voudrait
sans que ce soit cher payé
Elle voudrait du soleil, des étoiles, des étincelles
Un ciel dégagé de tous ces nuages habituels
Pour qu'elle puisse enfin décider de ce qui pourrait lui arriver
Sans qu'elle n'ait plus à se méfier des orages et des retombées
Elle voudrait qu'on puisse revoir
Autant de lueur que d'espoir
Autour de nous derrière ses murs
Il y a peut-être dans le futur
Un peu d'air pur et de chaleur
A chaque minute, à chaque heure
Rien que l'amour et le bonheur
A chaque coin de rue, dans nos coeurs
Elle voudrait
cette opportunité
Elle voudrait
pouvoir en profiter
Elle voudrait
en être persuadée
Elle voudrait
sans que ce soit cher payé
Elle voudrait
Mais quelque chose lui dit qu'il y a un malaise
Peut-être qu'elle se fabrique une utopie, dans sa tête
Elle voit des choses qu'ont pas lieu d'être
Elle imagine le monde qui va avec
Et elle voulait que ça existe
Oui, elle voulait que ça existe, un peu quand même
Sans que ça puisse être stupide
Sans que ça puisse être inutile
Sans que ça puisse être futile
Sans que ça puisse être impossible
Sans que ça puisse être stupide
Sans que ça puisse être inutile
Sans que ça puisse être futile
Sans que ça puisse être impossible
Elle voudrait
cette opportunité
Elle voudrait
pouvoir en profiter
Elle voudrait
en être persuadée
Elle voudrait
sans que ce soit cher payé
Elle voudrait
cette opportunité
Elle voudrait
pouvoir en profiter
Elle voudrait
en être persuadée
Elle voudrait
sans que ce soit cher payé
Elle voudrait