Toujours encore
Ce que je ne voulais pas faire
J'ai mis du temps à m'en passer
Le temps de m'offrir l'enfer
Et de le fuir sans trépasser
Ce que je n'ai pas voulu voir
J'y ai longtemps prêté l'oreille
Et mon sang coulait sans savoir
Que mes sanglots faisaient pareil
La vie a des envies farouches
Buvant le temps comme une bouche
Le temps qui fond dans la nuit blanche
Comme un camée comme un dimanche
Où vis-je où vais-je et puis que fais-je
Je n'apprendrai pas le solfège
En tout j'aurai si mal agi
Qu'on maudira là où je gis
L'existence est un livre ouvert
Dont la reliure est brisée
J'échappe les pages par terre
Et le vent vient les emporter
Pourtant j'ai foi toujours encore
Je crois en ces causes et ces corps
Qui font vibrer mes fibres vives
Et qui m'adorent et qui me suivent
Quand elles ont des jambes racées
Je fais des rimes embrassées
Ce n'est plus vraiment à la mode
Et ça n'a rien de très commode
Je réfléchis à m'en brûler
À m'en faire éclater les veines
À la fin c'est l'amour et les fous
Et les sourds qui s'en souviennent
Pourtant j'ai foi toujours encore
Bien que ma bonne étoile en vienne
À s'écraser dans le décor
Et que l'amour seul s'en souvienne
J'ai foi toujours encore un coup
Bien que je n'y crois plus beaucoup
J'ai toujours encore un peu de foi
En tout souvent et moi parfois
J'ai mis du temps à m'en passer
Le temps de m'offrir l'enfer
Et de le fuir sans trépasser
Ce que je n'ai pas voulu voir
J'y ai longtemps prêté l'oreille
Et mon sang coulait sans savoir
Que mes sanglots faisaient pareil
La vie a des envies farouches
Buvant le temps comme une bouche
Le temps qui fond dans la nuit blanche
Comme un camée comme un dimanche
Où vis-je où vais-je et puis que fais-je
Je n'apprendrai pas le solfège
En tout j'aurai si mal agi
Qu'on maudira là où je gis
L'existence est un livre ouvert
Dont la reliure est brisée
J'échappe les pages par terre
Et le vent vient les emporter
Pourtant j'ai foi toujours encore
Je crois en ces causes et ces corps
Qui font vibrer mes fibres vives
Et qui m'adorent et qui me suivent
Quand elles ont des jambes racées
Je fais des rimes embrassées
Ce n'est plus vraiment à la mode
Et ça n'a rien de très commode
Je réfléchis à m'en brûler
À m'en faire éclater les veines
À la fin c'est l'amour et les fous
Et les sourds qui s'en souviennent
Pourtant j'ai foi toujours encore
Bien que ma bonne étoile en vienne
À s'écraser dans le décor
Et que l'amour seul s'en souvienne
J'ai foi toujours encore un coup
Bien que je n'y crois plus beaucoup
J'ai toujours encore un peu de foi
En tout souvent et moi parfois
Credits
Writer(s): Roger Simard, Jean-francois Morand, Christian Mistral
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