Prison vide
Une porte en cache toujours une autre
Y'a tant de beauté dans l'hérésie
Tant de bêtises dans nos récits
J'oscille entre crépuscule et aube
Le futur sera pas ce que tu décris
Ça vaut plus la peine si tout est écrit
Une porte en cache toujours une autre
Une porte en cache toujours une autre
Ce qui me pousse à l'ouvrir c'est l'appétit
Le bonheur de mes proches c'est ma béquille
Je ressens leurs mains qui me pousse dans les côtes
J'ai du mal à croire tout ce qui traverse ma rétine
Dans le fond t'auras pas ce que tu mérites tu le sais
Une porte en cache toujours une autre
A quoi bon rester sur le palier
Jusqu'a ma dernière heure
Mon bras me sert de bélier
Quand je n'ai pas la clé
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Où que j'aille l'envie m'appelle
Et je repars à pied
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
J'ai pas les clés
J'ai pas les clés
Les femmes et la musique ont écourtées mes nuits
La fumée du tabac glisse entre les fenêtres
La buée sur les vitres se condense et je
N'ai plus que des flammes entre les deux lèvres
Il ne s'agit que de passion
On sait qu'on ne fait que passer
La vie n'est pas une équation
J'avancerai les pieds jusqu'à me les casser
Je mets des croix sur la carte
Je ne connais ni palace ni bidonville
Nos pas sont comptés sur la glace
Personne a les clés des prisons vides
Le passé se lit sur les figures
Le futur se lit dans les rêves
On se démarque en brisant les codes
Les fauves dans les villes
Les humains dans les zoo
On n'oublie jamais les rues qu'on a quittées
Les souvenirs contre l'appuie tête
Il fallait bien sortir du hall pour
S'offrir la gloire et la retraite en Aquitaine
Peu m'importe la valeur de l'or
Je connais les trésors qu'il y a sous ma chaire pâle
Rien ne sert d'avoir des remords
On ne récolte rien si l'on ne s'aime pas
Une porte en cache toujours une autre
A quoi bon rester sur le palier jusqu'à ma dernière heure
Mon bras me sert de bélier
Quand je n'ai pas la clé
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Où que j'aille l'envie m'appelle
Et je repars à pied
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
J'ai pas les clés
J'ai pas les clés
Une porte en cache toujours une autre
Y'a tant de beauté dans l'hérésie
Tant de bêtises dans nos récits
J'oscille entre crépuscule et aube
Le futur sera pas ce que tu décris
Ça vaut plus la peine si tout est écrit
Une porte en cache toujours une autre
J'ai pas les clés
A quoi bon rester sur le palier
Jusqu'à ma dernière heure
Mon bras me sert de bélier
Quand je n'ai pas la clé
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Ou que j'aille l'envie m'appelle
Et je repars à pied
Le temps c'est tout ce que j'ai de precieux
Le temps c'est tout ce que j'ai de precieux
A quoi bon rester sur le palier
Jusqu'à ma dernière heure
Mon bras me sert de bélier
Quand je n'ai pas la clé
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Où que j'aille l'envie m'appelle
Et je repars à pied
Y'a tant de beauté dans l'hérésie
Tant de bêtises dans nos récits
J'oscille entre crépuscule et aube
Le futur sera pas ce que tu décris
Ça vaut plus la peine si tout est écrit
Une porte en cache toujours une autre
Une porte en cache toujours une autre
Ce qui me pousse à l'ouvrir c'est l'appétit
Le bonheur de mes proches c'est ma béquille
Je ressens leurs mains qui me pousse dans les côtes
J'ai du mal à croire tout ce qui traverse ma rétine
Dans le fond t'auras pas ce que tu mérites tu le sais
Une porte en cache toujours une autre
A quoi bon rester sur le palier
Jusqu'a ma dernière heure
Mon bras me sert de bélier
Quand je n'ai pas la clé
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Où que j'aille l'envie m'appelle
Et je repars à pied
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
J'ai pas les clés
J'ai pas les clés
Les femmes et la musique ont écourtées mes nuits
La fumée du tabac glisse entre les fenêtres
La buée sur les vitres se condense et je
N'ai plus que des flammes entre les deux lèvres
Il ne s'agit que de passion
On sait qu'on ne fait que passer
La vie n'est pas une équation
J'avancerai les pieds jusqu'à me les casser
Je mets des croix sur la carte
Je ne connais ni palace ni bidonville
Nos pas sont comptés sur la glace
Personne a les clés des prisons vides
Le passé se lit sur les figures
Le futur se lit dans les rêves
On se démarque en brisant les codes
Les fauves dans les villes
Les humains dans les zoo
On n'oublie jamais les rues qu'on a quittées
Les souvenirs contre l'appuie tête
Il fallait bien sortir du hall pour
S'offrir la gloire et la retraite en Aquitaine
Peu m'importe la valeur de l'or
Je connais les trésors qu'il y a sous ma chaire pâle
Rien ne sert d'avoir des remords
On ne récolte rien si l'on ne s'aime pas
Une porte en cache toujours une autre
A quoi bon rester sur le palier jusqu'à ma dernière heure
Mon bras me sert de bélier
Quand je n'ai pas la clé
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Où que j'aille l'envie m'appelle
Et je repars à pied
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
J'ai pas les clés
J'ai pas les clés
Une porte en cache toujours une autre
Y'a tant de beauté dans l'hérésie
Tant de bêtises dans nos récits
J'oscille entre crépuscule et aube
Le futur sera pas ce que tu décris
Ça vaut plus la peine si tout est écrit
Une porte en cache toujours une autre
J'ai pas les clés
A quoi bon rester sur le palier
Jusqu'à ma dernière heure
Mon bras me sert de bélier
Quand je n'ai pas la clé
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Ou que j'aille l'envie m'appelle
Et je repars à pied
Le temps c'est tout ce que j'ai de precieux
Le temps c'est tout ce que j'ai de precieux
A quoi bon rester sur le palier
Jusqu'à ma dernière heure
Mon bras me sert de bélier
Quand je n'ai pas la clé
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Le temps c'est tout ce que j'ai de précieux
Où que j'aille l'envie m'appelle
Et je repars à pied
Credits
Writer(s): Xavier Boivin, Simeon Zuyten, Robin Kliphuis, Victor Pailhes, Paul Nameche
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