Jardin d'hiver
Jardin d'hiver, jardin d'hiver, ok, eh
Ça faisait comme ça je crois
Ouais
Souvent teinté d'ombres, bercé par l'euphorie
Dans le fond de ma tête quelques tombeaux fleuris
Noyé au fond d'un lac, les doutes refont surface
En guise de carapace quelques rimes dans un sac
Déverse de l'armagnac, mon époque pue la pisse
La gueule au fond d'un pack, la gerbe et la bêtise
Les forces m'abandonnent contre vents et marées
Dorénavant amarré, moi je m'efforce à lutter
Je fredonne la douleur comme on entend la mer
Du pétrole pour couleur et l'odeur de la merde
Je n'ai guère peur de la mort, en arborant un sourire
Je lui répète c'est mon tort, plutôt crever à en mourir
Les rumeurs se colportent, l'honnêteté se fait rare
Tous les cloportes se marrent alors moi je m'emporte
Sous une pluie de lumière, la poussière reste impure
La vision claire obscure, j'éclaire mon besoin d'air
Dans mon jardin d'hiver, ni je t'aime ni amour
Dans mon jardin d'hiver, l'éternel dure un jour
Dans mon jardin d'hiver, ni honneur ni bravoure
Dans mon jardin d'hiver, le malheur se savoure
Dans mon jardin d'hiver, quelques flocons de vie
Dans mon jardin d'hiver, seuls les cons y sourient
Dans mon jardin d'hiver, ni désir ni envie
Aucune fleur ne fleurit dans mon jardin d'hiver
L'amour les rend flous comme des borgnes enragés
Dans le bain de vos larmes, j'ai appris à nager
Les cœurs que volent en éclat, moi je ramasse les miettes
J'ai le moral en déclin, vos douleurs sont les miennes
Mes beaux discours m'ennuient car je connais déjà
Le bonheur qui s'enfuit, celui qui ne revient pas
Toujours les poings crispés, quand je repense à elle
Était-ce bien trop risqué? Me suis-je brûlé les ailes?
Ma jeunesse est sous crack, troque son cul dans les squares
J'ai vu si peu d'espoir comme une bête que l'on traque
Plus rien ne s'imbrique, ici les gens se braquent
J'ai besoin d'un break au bord d'un lac
Trop de sang sous mes ongles, j'ai gratté l'écorce
Mais les jolies plantes restent en chienne et en os
Dans mon jardin d'hiver ici-bas je soupire
J'ai dompté le diable, j'ai vu Dieu me sourire
Dans mon jardin d'hiver, ni je t'aime ni amour
Dans mon jardin d'hiver, l'éternel dure un jour
Dans mon jardin d'hiver, ni honneur ni bravoure
Dans mon jardin d'hiver, le malheur se savoure
Dans mon jardin d'hiver, quelques flocons de vie
Dans mon jardin d'hiver, seul les cons y sourient
Dans mon jardin d'hiver, ni désir ni envie
Aucune fleur ne fleurit dans mon jardin d'hiver
Ça faisait comme ça je crois
Ouais
Souvent teinté d'ombres, bercé par l'euphorie
Dans le fond de ma tête quelques tombeaux fleuris
Noyé au fond d'un lac, les doutes refont surface
En guise de carapace quelques rimes dans un sac
Déverse de l'armagnac, mon époque pue la pisse
La gueule au fond d'un pack, la gerbe et la bêtise
Les forces m'abandonnent contre vents et marées
Dorénavant amarré, moi je m'efforce à lutter
Je fredonne la douleur comme on entend la mer
Du pétrole pour couleur et l'odeur de la merde
Je n'ai guère peur de la mort, en arborant un sourire
Je lui répète c'est mon tort, plutôt crever à en mourir
Les rumeurs se colportent, l'honnêteté se fait rare
Tous les cloportes se marrent alors moi je m'emporte
Sous une pluie de lumière, la poussière reste impure
La vision claire obscure, j'éclaire mon besoin d'air
Dans mon jardin d'hiver, ni je t'aime ni amour
Dans mon jardin d'hiver, l'éternel dure un jour
Dans mon jardin d'hiver, ni honneur ni bravoure
Dans mon jardin d'hiver, le malheur se savoure
Dans mon jardin d'hiver, quelques flocons de vie
Dans mon jardin d'hiver, seuls les cons y sourient
Dans mon jardin d'hiver, ni désir ni envie
Aucune fleur ne fleurit dans mon jardin d'hiver
L'amour les rend flous comme des borgnes enragés
Dans le bain de vos larmes, j'ai appris à nager
Les cœurs que volent en éclat, moi je ramasse les miettes
J'ai le moral en déclin, vos douleurs sont les miennes
Mes beaux discours m'ennuient car je connais déjà
Le bonheur qui s'enfuit, celui qui ne revient pas
Toujours les poings crispés, quand je repense à elle
Était-ce bien trop risqué? Me suis-je brûlé les ailes?
Ma jeunesse est sous crack, troque son cul dans les squares
J'ai vu si peu d'espoir comme une bête que l'on traque
Plus rien ne s'imbrique, ici les gens se braquent
J'ai besoin d'un break au bord d'un lac
Trop de sang sous mes ongles, j'ai gratté l'écorce
Mais les jolies plantes restent en chienne et en os
Dans mon jardin d'hiver ici-bas je soupire
J'ai dompté le diable, j'ai vu Dieu me sourire
Dans mon jardin d'hiver, ni je t'aime ni amour
Dans mon jardin d'hiver, l'éternel dure un jour
Dans mon jardin d'hiver, ni honneur ni bravoure
Dans mon jardin d'hiver, le malheur se savoure
Dans mon jardin d'hiver, quelques flocons de vie
Dans mon jardin d'hiver, seul les cons y sourient
Dans mon jardin d'hiver, ni désir ni envie
Aucune fleur ne fleurit dans mon jardin d'hiver
Credits
Writer(s): Euphonik
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