Les matins
Doux réveil, au goût amer
Était-ce un cauchemar, était-ce un cauchemar?
Oh non, c'était bien hier
J'ai les yeux si rouges et bombés
Par la nuit ou par les pleurs
Draps usés ou mauvais rêve
J'aurais bien aimé, j'aurais bien aimé
Mais non, c'était bien hier
Où es-tu? Y'a ton odeur comme seule trace de ton corps
Où es-tu? Tes mains me manquent, et moi, j'y crois encore
C'est les matins comme ça qui me font pleurer
Leur vérité me tue
Car la nuit a su me faire oublier
C'est les matins comme ça qui me font pleurer
Dès mon premier regard
Face à la nuit solitaire que j'ai passée
Pleurer, pleurer
Et pleurer, pleurer, pleurer
Pleurer, pleurer
Pleurer, pleurer, pleurer
Un de perdu, dix de trouvés
Non mais j'y crois pas
Le vent, c'était toi
Avant t'étais à moi
Quelques heures ou quelques verres
Et je dormirai, oui je dormirai
Jusqu'au prochain matin
Où es-tu? Y'a ton odeur comme seule trace de ton corps
Où es-tu? Tes mains me manquent, et moi, j'y crois encore
C'est les matins comme ça qui me font pleurer
Leur vérité me tue
Car la nuit a su me faire oublier
C'est les matins comme ça qui me font pleurer
Dès mon premier regard
Face à la nuit solitaire que j'ai passée
Pleurer, pleurer
Et pleurer, pleurer, pleurer
Pleurer, pleurer
Pleurer, pleurer, pleurer
Pleurer
Pleurer, pleurer
Pleurer, pleurer, pleurer
Était-ce un cauchemar, était-ce un cauchemar?
Oh non, c'était bien hier
J'ai les yeux si rouges et bombés
Par la nuit ou par les pleurs
Draps usés ou mauvais rêve
J'aurais bien aimé, j'aurais bien aimé
Mais non, c'était bien hier
Où es-tu? Y'a ton odeur comme seule trace de ton corps
Où es-tu? Tes mains me manquent, et moi, j'y crois encore
C'est les matins comme ça qui me font pleurer
Leur vérité me tue
Car la nuit a su me faire oublier
C'est les matins comme ça qui me font pleurer
Dès mon premier regard
Face à la nuit solitaire que j'ai passée
Pleurer, pleurer
Et pleurer, pleurer, pleurer
Pleurer, pleurer
Pleurer, pleurer, pleurer
Un de perdu, dix de trouvés
Non mais j'y crois pas
Le vent, c'était toi
Avant t'étais à moi
Quelques heures ou quelques verres
Et je dormirai, oui je dormirai
Jusqu'au prochain matin
Où es-tu? Y'a ton odeur comme seule trace de ton corps
Où es-tu? Tes mains me manquent, et moi, j'y crois encore
C'est les matins comme ça qui me font pleurer
Leur vérité me tue
Car la nuit a su me faire oublier
C'est les matins comme ça qui me font pleurer
Dès mon premier regard
Face à la nuit solitaire que j'ai passée
Pleurer, pleurer
Et pleurer, pleurer, pleurer
Pleurer, pleurer
Pleurer, pleurer, pleurer
Pleurer
Pleurer, pleurer
Pleurer, pleurer, pleurer
Credits
Writer(s): Angele Van Laeken, Tristan Salvati
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