Le Poids d'un amour
Pourtant, rien n'vaut la vie
Pourtant, rien n'vaut la vie
J'entends encore la belle mélodie du rire à maman
À cette époque notre bonheur ne faisait pas la manche, il était plein aux as
Sa présence transformait notre petit appart en palace
Et quand j'y pense j'me dis que la misère ça s'vit dans la tête
Surtout quand je revois maman nous faire un festin avec des miettes
L'amour ça rend aveugle je voyais des gâteaux et des bougies
Au lieu d'un quatre-quarts et des allumettes
Être le petit frère d'une famille nombreuse ça m'a permis de pouvoir concurrencer Toys'R'us
Avec cette enfance heureuse comment avoir la trouille
Votre amour m'a fait rouler en carrosse dans une citrouille
Quand j'fouille dans ma mémoire j'ne trouve pas un seul soir
Où j'ai manqué d'attention après un cauchemar
Cette joie je l'ai sentie avant même que je fasse les dents mais depuis cet accident
J'ai les ailes qui s'déploient plus et le pouls qui ne bat plus
Depuis que vous n'êtes plus aussi heureux qu'au début
Le poids de cet amour m'est devenu trop lourd, ho ho
À 18 ans tu t'crois intelligent et fort
Tu crois pouvoir porter le monde sans faire d'efforts
Tu crois avoir des réponses à tout
Dans ta vie tes potes jouent en titulaire et ta famille sur le banc de touche
Ta crise d'adolescence te fait croire que personne n'est là pour toi sauf la rue et son ambiance
Mais on apprend qu'en s'brûlant
Et ça je l'ai su dès que les pompiers m'on mit dans cette ambulance
Ce soir là j'avoue qu'on avait un peu bu, qu'on avait un peu cru que la rue était à nous
Le pieds sur l'champignon en sortant d'une boîte de nuit
Mort de rire, mais cet arrêt d'bus j'l'avais pas vu
À ce moment précis, j'ai vu défiler ma vie
Ces moments avec vous que je ne pourrais plus vivre
Voilà pourquoi depuis ce jour j'n'ai plus le mordant car depuis cet accident
J'ai les ailes qui s'déploient plus et le pouls qui ne bat plus
Depuis que vous n'êtes plus aussi heureux qu'au début
Le poids de cet amour m'est devenu trop lourd, ho ho
Depuis cet accident vos lèvres n'ont plus la force de porter un sourire
Surtout depuis que ces tuyaux servent à m'nourrir
Ça fait trois ans qu'j'suis sur ce lit d'hôpital
Une machine pour mes poumons et un tube aux parties génitales
Quand ils ont dit que j'étais presque mort cliniquement
Toutes ces blessures n'étaient rien face aux larmes de maman
On me disait de rester positif mais comment
J'avais trop mal, j'aurais préféré rester dans l'coma
La morphine faisait plus rien
Je vomissais comme un bébé, du mal à pisser, car j'avais plus d'reins
Des médecins pourris, qui partaient jouer au golf
Après vous avoir dit qu'pour moi on n'pouvait plus rien
J'en avais marre moi de tous ces cachets
J'en avais marre de percevoir ces larmes que vous me cachiez
Donc n'en voulez pas à maman pour c'qu'elle a fait
C'est moi qui lui ai demandé de m'aider à m'envoler
J'ai les ailes qui s'déploient plus et le pouls qui ne bat plus
Depuis que vous n'êtes plus aussi heureux qu'au début
Le poids de cet amour m'est devenu trop lourd, ho ho
J'ai les ailes qui s'déploient plus et le pouls qui ne bat plus
Depuis que vous n'êtes plus aussi heureux qu'au début
Le poids de cet amour m'est devenu trop lourd, ho ho
Pourtant, rien n'vaut la vie
Pourtant, rien n'vaut la vie
Yeah
Pourtant, rien n'vaut la vie
Pourtant, rien n'vaut la vie
J'entends encore la belle mélodie du rire à maman
À cette époque notre bonheur ne faisait pas la manche, il était plein aux as
Sa présence transformait notre petit appart en palace
Et quand j'y pense j'me dis que la misère ça s'vit dans la tête
Surtout quand je revois maman nous faire un festin avec des miettes
L'amour ça rend aveugle je voyais des gâteaux et des bougies
Au lieu d'un quatre-quarts et des allumettes
Être le petit frère d'une famille nombreuse ça m'a permis de pouvoir concurrencer Toys'R'us
Avec cette enfance heureuse comment avoir la trouille
Votre amour m'a fait rouler en carrosse dans une citrouille
Quand j'fouille dans ma mémoire j'ne trouve pas un seul soir
Où j'ai manqué d'attention après un cauchemar
Cette joie je l'ai sentie avant même que je fasse les dents mais depuis cet accident
J'ai les ailes qui s'déploient plus et le pouls qui ne bat plus
Depuis que vous n'êtes plus aussi heureux qu'au début
Le poids de cet amour m'est devenu trop lourd, ho ho
À 18 ans tu t'crois intelligent et fort
Tu crois pouvoir porter le monde sans faire d'efforts
Tu crois avoir des réponses à tout
Dans ta vie tes potes jouent en titulaire et ta famille sur le banc de touche
Ta crise d'adolescence te fait croire que personne n'est là pour toi sauf la rue et son ambiance
Mais on apprend qu'en s'brûlant
Et ça je l'ai su dès que les pompiers m'on mit dans cette ambulance
Ce soir là j'avoue qu'on avait un peu bu, qu'on avait un peu cru que la rue était à nous
Le pieds sur l'champignon en sortant d'une boîte de nuit
Mort de rire, mais cet arrêt d'bus j'l'avais pas vu
À ce moment précis, j'ai vu défiler ma vie
Ces moments avec vous que je ne pourrais plus vivre
Voilà pourquoi depuis ce jour j'n'ai plus le mordant car depuis cet accident
J'ai les ailes qui s'déploient plus et le pouls qui ne bat plus
Depuis que vous n'êtes plus aussi heureux qu'au début
Le poids de cet amour m'est devenu trop lourd, ho ho
Depuis cet accident vos lèvres n'ont plus la force de porter un sourire
Surtout depuis que ces tuyaux servent à m'nourrir
Ça fait trois ans qu'j'suis sur ce lit d'hôpital
Une machine pour mes poumons et un tube aux parties génitales
Quand ils ont dit que j'étais presque mort cliniquement
Toutes ces blessures n'étaient rien face aux larmes de maman
On me disait de rester positif mais comment
J'avais trop mal, j'aurais préféré rester dans l'coma
La morphine faisait plus rien
Je vomissais comme un bébé, du mal à pisser, car j'avais plus d'reins
Des médecins pourris, qui partaient jouer au golf
Après vous avoir dit qu'pour moi on n'pouvait plus rien
J'en avais marre moi de tous ces cachets
J'en avais marre de percevoir ces larmes que vous me cachiez
Donc n'en voulez pas à maman pour c'qu'elle a fait
C'est moi qui lui ai demandé de m'aider à m'envoler
J'ai les ailes qui s'déploient plus et le pouls qui ne bat plus
Depuis que vous n'êtes plus aussi heureux qu'au début
Le poids de cet amour m'est devenu trop lourd, ho ho
J'ai les ailes qui s'déploient plus et le pouls qui ne bat plus
Depuis que vous n'êtes plus aussi heureux qu'au début
Le poids de cet amour m'est devenu trop lourd, ho ho
Pourtant, rien n'vaut la vie
Pourtant, rien n'vaut la vie
Yeah
Pourtant, rien n'vaut la vie
Credits
Writer(s): Yann Stephane Mace, Luc Emile Leroy, Said M'roumbaba
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