Un peu trop happés
Aussi loin que je me souvienne
Toi et moi sommes restés les mêmes
Une écoute sans faille et sans gêne
Un mouchoir pour pleurer ses peines
Rongés par un dilemme
Crise de la quarantaine
Peines de coeur à la pelle
Ça part en la Jessie qu'on aime
Faut résoudre les problèmes
Faut résoudre les problèmes
J'ai bien peur qu'on soit happés
Un peu trop dans les confidences
On connaît tous les secrets
On y attache tant d'importance
Faut dire aussi qu'on est des gens curieux
Soucieux de savoir si ceux
Qui nous entourent sont heureux
Y a comme une force en nous qui guide les autres
À franchir la porte
Toujours ouverte pour celui qui veut
J'ai le sentiment d'être chanceux
J'connais pas la déveine, quitté leurs doléances
Mon empathie en pâtit un peu
Je peine à prendre de la distance
J'ai bien peur qu'on soit happés
Un peu trop dans les confidences
On connaît tous les secrets
On y attache tant d'importance
Pour toi est-ce à dire
Que plus rien n'importe
Sinon d'être forte
Quand tu tends la main
Mais petite éponge, tu plonges
Carreau monotone
Je te somme
D'essorrer ton chagrin
Toi tu donnes toute ton attention
C'est à tort, ou ta raison
Se perd comme ceux que tu consoles
À la solde de ce fieffé jeu de rôle
Y a pas à faire comme si tout allait bien
Troquer nos âmes de bons Samaritains
Ça mérite un compromis, c'est certain
Je ferme la porte pour quelques heures
Je l'ouvrirai demain
Toi et moi sommes restés les mêmes
Une écoute sans faille et sans gêne
Un mouchoir pour pleurer ses peines
Rongés par un dilemme
Crise de la quarantaine
Peines de coeur à la pelle
Ça part en la Jessie qu'on aime
Faut résoudre les problèmes
Faut résoudre les problèmes
J'ai bien peur qu'on soit happés
Un peu trop dans les confidences
On connaît tous les secrets
On y attache tant d'importance
Faut dire aussi qu'on est des gens curieux
Soucieux de savoir si ceux
Qui nous entourent sont heureux
Y a comme une force en nous qui guide les autres
À franchir la porte
Toujours ouverte pour celui qui veut
J'ai le sentiment d'être chanceux
J'connais pas la déveine, quitté leurs doléances
Mon empathie en pâtit un peu
Je peine à prendre de la distance
J'ai bien peur qu'on soit happés
Un peu trop dans les confidences
On connaît tous les secrets
On y attache tant d'importance
Pour toi est-ce à dire
Que plus rien n'importe
Sinon d'être forte
Quand tu tends la main
Mais petite éponge, tu plonges
Carreau monotone
Je te somme
D'essorrer ton chagrin
Toi tu donnes toute ton attention
C'est à tort, ou ta raison
Se perd comme ceux que tu consoles
À la solde de ce fieffé jeu de rôle
Y a pas à faire comme si tout allait bien
Troquer nos âmes de bons Samaritains
Ça mérite un compromis, c'est certain
Je ferme la porte pour quelques heures
Je l'ouvrirai demain
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