Il N'Y Avait Que Toi
Il n'y avait que moi, la tristesse et la brume
Et la foire pleurait à s'en fendre le coeur
Je suivais sans passion mon ombre de bitume
Qui me parlait de terres au soleil enchanteur
C'est alors que tu vins, toi, ma douce fée
Tu me vis si mesquin et tu m'offris ta joie
Tu me tendis la main comme une fiancée
Et la foire fut palais, toi la reine, moi le roi
Il n'y avait plus que toi, mystérieuse fortune
Il n'y avait plus que toi et ton rire cristal
Il n'y avait plus que toi, gracieuse comme aucune
Et moi, je te suivais, l'amour menait le bal
Et puis tu disparus sans me dire ton nom
Me laissant éperdu dans cette île au trésor
Si au moins je savais où trouver ta maison
Je n'ai que ton parfum que je respire encore
Il n'y avait plus que toi, mystérieuse fortune
Il n'y avait plus que toi et ton rire cristal
Il n'y avait plus que toi, gracieuse comme aucune
Et moi, je te suivais, l'amour menait le bal
Il n'y avait que moi, la tristesse et la brume
Ils tournaient, ils tournaient, les manèges criards
Ils grisaient mon ennui, droguaient mon amertume
Et les heures sombraient dans une eau de cafard
Et la foire pleurait à s'en fendre le coeur
Je suivais sans passion mon ombre de bitume
Qui me parlait de terres au soleil enchanteur
C'est alors que tu vins, toi, ma douce fée
Tu me vis si mesquin et tu m'offris ta joie
Tu me tendis la main comme une fiancée
Et la foire fut palais, toi la reine, moi le roi
Il n'y avait plus que toi, mystérieuse fortune
Il n'y avait plus que toi et ton rire cristal
Il n'y avait plus que toi, gracieuse comme aucune
Et moi, je te suivais, l'amour menait le bal
Et puis tu disparus sans me dire ton nom
Me laissant éperdu dans cette île au trésor
Si au moins je savais où trouver ta maison
Je n'ai que ton parfum que je respire encore
Il n'y avait plus que toi, mystérieuse fortune
Il n'y avait plus que toi et ton rire cristal
Il n'y avait plus que toi, gracieuse comme aucune
Et moi, je te suivais, l'amour menait le bal
Il n'y avait que moi, la tristesse et la brume
Ils tournaient, ils tournaient, les manèges criards
Ils grisaient mon ennui, droguaient mon amertume
Et les heures sombraient dans une eau de cafard
Credits
Writer(s): Salvatore Adamo
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