Nébuleuse
L'être d'une inconnue ...
Dieu tout puissant, J'te remercie pour ma naissance,
Mon enfance, pour le fait que tu m'a laissé mon insouciance,
J'ai connu l'essence, approcher la science, amplifier mes sens.
Je connais ma chance et je te la rends.
Désolé pour les fans, j'aime que ma foi, que ma femme
Et y a pas si longtemps je ne m'en croyais pas capable,
Quand j'y pense je pète un câble, j'aime comme a l'époque du bac à sable,
l'époque des mots d'amour dans mon cartable.
Mais cette inconnue mon âme sœur est devenue palpable
Et je blague pas, mes sentiments sont implacables
Alors j'me dit si t'es pas cap' et que j'étais irrattrapable,
Le malheur ne te rattrape pas, j'ai refusé le dernier appât
Et rattraper la peine, demander pardon.
Maintenant fait les choses dans l'ordre, la misère s'accorde avec la miséricorde...
A cet époque j'dansais, époque 95, des années hip-hop,
J'voulais plaire comme un dingue.
Tout pour les filles, omnubiler pour ces nébuleuses je voulais briller les brieuses.
Y m' fallais des billets, y m' fallais des filles,
Y fallait qu'elles défilent, c'était le défi.
Déficient pour le bon sens, j'étais débiteur bourreau des coeurs
Mauvaise conscience
Après midi dansante, apparemment elle me dit qu'elle était là tout près de l'enceinte.
Qui aurait cru que cette fille serait ma femme à cet instant précis.
Quand je l'ai vu, trop jeune, moi trop con, trop de frime,
Je m'en excuse ma douce, tu étais trop p'tite,
Je t'ai pas regardé, je t'demande pardon, j'ai failli nous rater.
Ce que tu m'a appris dans ta lettre,
C'est que pendant les 2 ans qui suivirent cette fête,
Tu esperais qu'on se voit, qu'on se croise,
C'est à moi que tu pensais dans ton lit le soir,
Moi pendant ce temps là j'perdais mon temps à traîner en bas
Devant le hall tel un zombi, j'oubliais que j'étais en vie
Tu es ma muse, mon amour
Je pense à toi tous les jours
Je prie pour que rien ne change... non, non, non
Sous la vigilance des anges
Tu es ma nébuleuse, ma nébuleuse
Et je veux te rendre heureuse, te rendre heureuse
Ta patience pour mes faiblesses, mes faiblesses
A fait que j'ai bu l'eau céleste
Donc 2 ans après, grâce à Dieu on nous a représenté,
Je n'étais pas forcément prêt.
Cette idylle concrète en fait je l'ai craint.
Mais t'étais juste trop belle, t'avais tout d'un ange, manquais juste les ailes.
Sénégal reine, tu combles le manque de mes racines africaines.
La confusion d'mes sentiments, on fait de moi pendant tout ce temps,
Un être a moitié dément, heureusement tu nous aimais pour deux.
Des visions furtives, combien furent elles dans ce morceau de vie.
L'amour des parents, protection de leur fille.
Des réminiscences de cet temps devant les effuses de cette frustration
J't'ai vu grandir, tu m'a fait mûrir, ma puce, mon amour,
Ta patience pour nous, en faîte tout les jours je pensais a toi
Mais tes parents ne voulaient pas
Quelque part je les comprends,
Quelque part je les comprends
Quelque part je les comprends
Tu es ma muse, mon amour
Je pense à toi tous les jours
Je prie pour que rien ne change... non, non, non
Sous la vigilance des anges
Tu es ma nébuleuse, ma nébuleuse
Et je veux te rendre heureuse, te rendre heureuse
Ta patience pour mes faiblesses, mes faiblesses
A fait que j'ai bu l'eau céleste
Quand j'ai pris ma plume, j'ai écrit à son père les raisons de mon envie,
Lui raconte mon enfance, lui raconte ma vie,
Comme dans les contes demande la main de sa fille,
J'augmente mon dime, ma foi en Dieu devient ultime.
Je parle, je pense, j'espère, je prie pour qu'il m'accepte dans sa famille.
Aujourd'hui nous sommes mariés, par la grâce de Dieu et ce courrier,
Amine, ma muse, pour chaque faute je m'excuse.
Pour tous les couples qui me comprennent.
Pour ceux qui aspirent a ça en secret
Je viens vanter les bienfaits du mariage pur sous la vigilance des anges
Pour toutes les âmes en peines, je suis droit et juste, laisser moi en paix.
Ma femme écoute bien cette phrase:
Lorsqu'on éduque un homme, on éduque un être
Lorsqu'on éduque une femme, on éduque un peuple
Tu es ma muse, mon amour
Je pense à toi tous les jours
Je prie pour que rien ne change... non, non, non
Sous la vigilance des anges
Tu es ma nébuleuse, ma nébuleuse
Et je veux te rendre heureuse, te rendre heureuse
Ta patience pour mes faiblesses, mes faiblesses
A fait que j'ai bu l'eau céleste
Dieu tout puissant, J'te remercie pour ma naissance,
Mon enfance, pour le fait que tu m'a laissé mon insouciance,
J'ai connu l'essence, approcher la science, amplifier mes sens.
Je connais ma chance et je te la rends.
Désolé pour les fans, j'aime que ma foi, que ma femme
Et y a pas si longtemps je ne m'en croyais pas capable,
Quand j'y pense je pète un câble, j'aime comme a l'époque du bac à sable,
l'époque des mots d'amour dans mon cartable.
Mais cette inconnue mon âme sœur est devenue palpable
Et je blague pas, mes sentiments sont implacables
Alors j'me dit si t'es pas cap' et que j'étais irrattrapable,
Le malheur ne te rattrape pas, j'ai refusé le dernier appât
Et rattraper la peine, demander pardon.
Maintenant fait les choses dans l'ordre, la misère s'accorde avec la miséricorde...
A cet époque j'dansais, époque 95, des années hip-hop,
J'voulais plaire comme un dingue.
Tout pour les filles, omnubiler pour ces nébuleuses je voulais briller les brieuses.
Y m' fallais des billets, y m' fallais des filles,
Y fallait qu'elles défilent, c'était le défi.
Déficient pour le bon sens, j'étais débiteur bourreau des coeurs
Mauvaise conscience
Après midi dansante, apparemment elle me dit qu'elle était là tout près de l'enceinte.
Qui aurait cru que cette fille serait ma femme à cet instant précis.
Quand je l'ai vu, trop jeune, moi trop con, trop de frime,
Je m'en excuse ma douce, tu étais trop p'tite,
Je t'ai pas regardé, je t'demande pardon, j'ai failli nous rater.
Ce que tu m'a appris dans ta lettre,
C'est que pendant les 2 ans qui suivirent cette fête,
Tu esperais qu'on se voit, qu'on se croise,
C'est à moi que tu pensais dans ton lit le soir,
Moi pendant ce temps là j'perdais mon temps à traîner en bas
Devant le hall tel un zombi, j'oubliais que j'étais en vie
Tu es ma muse, mon amour
Je pense à toi tous les jours
Je prie pour que rien ne change... non, non, non
Sous la vigilance des anges
Tu es ma nébuleuse, ma nébuleuse
Et je veux te rendre heureuse, te rendre heureuse
Ta patience pour mes faiblesses, mes faiblesses
A fait que j'ai bu l'eau céleste
Donc 2 ans après, grâce à Dieu on nous a représenté,
Je n'étais pas forcément prêt.
Cette idylle concrète en fait je l'ai craint.
Mais t'étais juste trop belle, t'avais tout d'un ange, manquais juste les ailes.
Sénégal reine, tu combles le manque de mes racines africaines.
La confusion d'mes sentiments, on fait de moi pendant tout ce temps,
Un être a moitié dément, heureusement tu nous aimais pour deux.
Des visions furtives, combien furent elles dans ce morceau de vie.
L'amour des parents, protection de leur fille.
Des réminiscences de cet temps devant les effuses de cette frustration
J't'ai vu grandir, tu m'a fait mûrir, ma puce, mon amour,
Ta patience pour nous, en faîte tout les jours je pensais a toi
Mais tes parents ne voulaient pas
Quelque part je les comprends,
Quelque part je les comprends
Quelque part je les comprends
Tu es ma muse, mon amour
Je pense à toi tous les jours
Je prie pour que rien ne change... non, non, non
Sous la vigilance des anges
Tu es ma nébuleuse, ma nébuleuse
Et je veux te rendre heureuse, te rendre heureuse
Ta patience pour mes faiblesses, mes faiblesses
A fait que j'ai bu l'eau céleste
Quand j'ai pris ma plume, j'ai écrit à son père les raisons de mon envie,
Lui raconte mon enfance, lui raconte ma vie,
Comme dans les contes demande la main de sa fille,
J'augmente mon dime, ma foi en Dieu devient ultime.
Je parle, je pense, j'espère, je prie pour qu'il m'accepte dans sa famille.
Aujourd'hui nous sommes mariés, par la grâce de Dieu et ce courrier,
Amine, ma muse, pour chaque faute je m'excuse.
Pour tous les couples qui me comprennent.
Pour ceux qui aspirent a ça en secret
Je viens vanter les bienfaits du mariage pur sous la vigilance des anges
Pour toutes les âmes en peines, je suis droit et juste, laisser moi en paix.
Ma femme écoute bien cette phrase:
Lorsqu'on éduque un homme, on éduque un être
Lorsqu'on éduque une femme, on éduque un peuple
Tu es ma muse, mon amour
Je pense à toi tous les jours
Je prie pour que rien ne change... non, non, non
Sous la vigilance des anges
Tu es ma nébuleuse, ma nébuleuse
Et je veux te rendre heureuse, te rendre heureuse
Ta patience pour mes faiblesses, mes faiblesses
A fait que j'ai bu l'eau céleste
Credits
Writer(s): Vincent Jean Claude Segal, Serigne M'baye Gueye, Mehdi Faveris Essadi
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