Ecrire
Quand j'raconte l'espoir sous une lampe halogène
J'aimerais que mes élans parlent aux jeunes
J'te parle de tout ce qui fait un homme, non pas nos gènes
Non pas ce qu'on te laisse voir
Mais tout ce qu'on te cache quand ça nous gêne
Auxquels on pense toute la noche, jambes allongées devant nos chaînes
Cette impression de perdre son temps
S'étouffer dans cette vie toute faite
Se sentant faible en sachant que la vie est une fête où personne danse
Ma deuxième mère m'a dit
C'est pas pour leur argent que les meilleurs prient
J'pleure celui qui meure jeune mais encore plus celui qui meurt triste
J'm'intériorise et j'me replie
Les cris d'une jeunesse meurtrie imprégnants mon humeur
J'vois les leaders imposer leur tri
Parfois j'me sens amoindri
Mais quand j'fous la merde c'est à moi de rire
Tribu indestructible
J'redistribue mon esprit de clan quand la street pleure
Indescriptible est ma tristesse dans les strip-clubs
Prends soin de toi d'où que tu sois
J'connais la soif du goût du sang
Et quand ça chauffe chez toi, tu sors du coup victime du coup du sort
Y'a plus beaucoup d'espoir dans toutes les zones qu'on a exclues
Les paysages sont désolés, pourtant les hommes n'ont pas d'excuses
Seul, j'pourrai pas m'en sortir, si j'y arrive, c'est par ton aide
Si toi aussi, t'as ressenti que le corps et l'âme séparent ton être
On m'a fermé des portes au nez
C'est pardonné, mais j'me suis pas retourné
Le système m'insupporte, j'suis un cyborg insubordonné
Et parfois j'en ai marre de l'aide, suspendu à des barbelés
Et quand tu veux rendre tout ce que t'as pris, tu finis par donner
Maintenant j'sais que les forces s'équilibrent
J'oublie pas le pourboire pour mes jeunes défoncés qui livrent
Nous on vient de là et c'est écrire qui nous a sauvé
Alors maintenant j'écris pour toi
Écrire, c'est capturer quelques souvenirs uniques dans des pochettes immenses
C'est coller ses tympans sur l'enceinte afin d'approcher l'silence
C'est l'insolence du cerveau d'celui qui à l'apogée s'élance
C'est voir défiler sa vie dans l'noir jusqu'à la prochaine séance
C'est capturer quelques souvenirs uniques dans des pochettes immenses
C'est coller ses tympans sur l'enceinte afin d'approcher l'silence
C'est l'insolence du cerveau d'celui qui à l'apogée s'élance
C'est voir défiler sa vie dans l'noir jusqu'à la prochaine séance
Nos rêves mystiques défient la science et leurs erreurs d'affiliation
Un chemin plein de déviations alors on mène des vies à cent à l'heure
Il faut choisir un camp, donc les idées se simplifient
Quand j'te demande "c'est ça qu'tu voulais faire plus tard?"
Je sens que tu fuis
Et les valeurs humaines se perdent, au détriment du scientifique
Quand l'homme moderne ne devient plus qu'un être immonde qu'on sanctifie
J'adopte une vision large
Évitant ceux qui pour quelques dollars changent
Les faux-amis qui te rendent service et qui t'réclament de l'argent
J'dis que ça va, mais là j'mens, j'ai juste envie de dire "lâche-moi"
Parfois j'ai peur de blesser les gens, alors j'réagis lâchement
J'aime pas trop m'étendre quand on me déçoit, comprends mes doutes
Et mes erreurs compromettantes, quand mon cœur fait battre mes tempes
Moi, j'suis le même qu'au premier temps, un putain de grec
Soit on trace, soit on crève
Cœur de glace, mes larmes se voient pas sous la grêle
J'sais pas trop ce qu'on me destine après
Mais je ne crains plus ces maquerelles
J'laisse une empreinte éphémère comme le tracé que dessine ma craie
Pas de simagrée, même si les signes sont gravés c'est crade ici
Tous indécis malgré les cîmes qu'on gravit c'est gravissime
L'Entourage, on écrit pour (toi)
Écrire, c'est capturer quelques souvenirs uniques dans des pochettes immenses
C'est coller ses tympans sur l'enceinte afin d'approcher l'silence
C'est l'insolence du cerveau d'celui qui à l'apogée s'élance
C'est voir défiler sa vie dans l'noir jusqu'à la prochaine séance
C'est capturer quelques souvenirs uniques dans des pochettes immenses
C'est coller ses tympans sur l'enceinte afin d'approcher l'silence
C'est l'insolence du cerveau d'celui qui à l'apogée s'élance
C'est voir défiler sa vie dans l'noir jusqu'à la prochaine séance
Écrire, c'est
Ce qui m'a rendu ma liberté
Écrire, c'est
Ce qui nous lie
Toi
J'aimerais que mes élans parlent aux jeunes
J'te parle de tout ce qui fait un homme, non pas nos gènes
Non pas ce qu'on te laisse voir
Mais tout ce qu'on te cache quand ça nous gêne
Auxquels on pense toute la noche, jambes allongées devant nos chaînes
Cette impression de perdre son temps
S'étouffer dans cette vie toute faite
Se sentant faible en sachant que la vie est une fête où personne danse
Ma deuxième mère m'a dit
C'est pas pour leur argent que les meilleurs prient
J'pleure celui qui meure jeune mais encore plus celui qui meurt triste
J'm'intériorise et j'me replie
Les cris d'une jeunesse meurtrie imprégnants mon humeur
J'vois les leaders imposer leur tri
Parfois j'me sens amoindri
Mais quand j'fous la merde c'est à moi de rire
Tribu indestructible
J'redistribue mon esprit de clan quand la street pleure
Indescriptible est ma tristesse dans les strip-clubs
Prends soin de toi d'où que tu sois
J'connais la soif du goût du sang
Et quand ça chauffe chez toi, tu sors du coup victime du coup du sort
Y'a plus beaucoup d'espoir dans toutes les zones qu'on a exclues
Les paysages sont désolés, pourtant les hommes n'ont pas d'excuses
Seul, j'pourrai pas m'en sortir, si j'y arrive, c'est par ton aide
Si toi aussi, t'as ressenti que le corps et l'âme séparent ton être
On m'a fermé des portes au nez
C'est pardonné, mais j'me suis pas retourné
Le système m'insupporte, j'suis un cyborg insubordonné
Et parfois j'en ai marre de l'aide, suspendu à des barbelés
Et quand tu veux rendre tout ce que t'as pris, tu finis par donner
Maintenant j'sais que les forces s'équilibrent
J'oublie pas le pourboire pour mes jeunes défoncés qui livrent
Nous on vient de là et c'est écrire qui nous a sauvé
Alors maintenant j'écris pour toi
Écrire, c'est capturer quelques souvenirs uniques dans des pochettes immenses
C'est coller ses tympans sur l'enceinte afin d'approcher l'silence
C'est l'insolence du cerveau d'celui qui à l'apogée s'élance
C'est voir défiler sa vie dans l'noir jusqu'à la prochaine séance
C'est capturer quelques souvenirs uniques dans des pochettes immenses
C'est coller ses tympans sur l'enceinte afin d'approcher l'silence
C'est l'insolence du cerveau d'celui qui à l'apogée s'élance
C'est voir défiler sa vie dans l'noir jusqu'à la prochaine séance
Nos rêves mystiques défient la science et leurs erreurs d'affiliation
Un chemin plein de déviations alors on mène des vies à cent à l'heure
Il faut choisir un camp, donc les idées se simplifient
Quand j'te demande "c'est ça qu'tu voulais faire plus tard?"
Je sens que tu fuis
Et les valeurs humaines se perdent, au détriment du scientifique
Quand l'homme moderne ne devient plus qu'un être immonde qu'on sanctifie
J'adopte une vision large
Évitant ceux qui pour quelques dollars changent
Les faux-amis qui te rendent service et qui t'réclament de l'argent
J'dis que ça va, mais là j'mens, j'ai juste envie de dire "lâche-moi"
Parfois j'ai peur de blesser les gens, alors j'réagis lâchement
J'aime pas trop m'étendre quand on me déçoit, comprends mes doutes
Et mes erreurs compromettantes, quand mon cœur fait battre mes tempes
Moi, j'suis le même qu'au premier temps, un putain de grec
Soit on trace, soit on crève
Cœur de glace, mes larmes se voient pas sous la grêle
J'sais pas trop ce qu'on me destine après
Mais je ne crains plus ces maquerelles
J'laisse une empreinte éphémère comme le tracé que dessine ma craie
Pas de simagrée, même si les signes sont gravés c'est crade ici
Tous indécis malgré les cîmes qu'on gravit c'est gravissime
L'Entourage, on écrit pour (toi)
Écrire, c'est capturer quelques souvenirs uniques dans des pochettes immenses
C'est coller ses tympans sur l'enceinte afin d'approcher l'silence
C'est l'insolence du cerveau d'celui qui à l'apogée s'élance
C'est voir défiler sa vie dans l'noir jusqu'à la prochaine séance
C'est capturer quelques souvenirs uniques dans des pochettes immenses
C'est coller ses tympans sur l'enceinte afin d'approcher l'silence
C'est l'insolence du cerveau d'celui qui à l'apogée s'élance
C'est voir défiler sa vie dans l'noir jusqu'à la prochaine séance
Écrire, c'est
Ce qui m'a rendu ma liberté
Écrire, c'est
Ce qui nous lie
Toi
Credits
Writer(s): Jeremie Diabira, Ken Samaras, Benjamin Paul
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