Les colombes
On s'voyait qu'une fois la semaine
Cela passait si vite que bientôt
On multipliait les rendez-vous
Au ciné, coin des rues
Quand j'te disais "je t'emmène"
À chaque fois, tout était nouveau
Dans la chambre, on vivait loin de tout
Et les heures ne passaient plus
Pendant que les colombes
De la rue des Sèves
Se faisaient comme une ronde
Autour de nos rêves
Et puis, quand on s'éveillait
J'te disais des histoires insensées
Qui te faisaient rire et en partant
On se disait "à bientôt"
Si deux jours nous séparaient
C'était long comme une éternité
Aussi, nous avons pensé souvent
Que l'autre avait disparu pendant
Que les colombes de la rue des Sèves
Se faisaient comme une ronde
Autour de nos rêves
Peu à peu, moi, j'ai changé
J'n'ai jamais su pour quoi ni pour qui
Était-ce une folie, je n'en sais rien
Mais je sais que j'y perdais
Y avait rien à espérer
Tout prenait la couleur de l'ennui
C'était comme si, au fond des mains
La fleur d'amour se fanait
Et dire que les colombes
De la rue des Sèves
Se faisaient comme une ronde
Autour de nos rêves
Cinq ans ont passé depuis
Et si tu m'revoyais parfois
Tu me verrais la tête penchée
L'oeil et le geste lointains
Et sur le mur de mes nuits
Se dessine une ombre quelquefois
Qui est celle de t'avoir blessée
Sans que je n'y puisse rien
Cela passait si vite que bientôt
On multipliait les rendez-vous
Au ciné, coin des rues
Quand j'te disais "je t'emmène"
À chaque fois, tout était nouveau
Dans la chambre, on vivait loin de tout
Et les heures ne passaient plus
Pendant que les colombes
De la rue des Sèves
Se faisaient comme une ronde
Autour de nos rêves
Et puis, quand on s'éveillait
J'te disais des histoires insensées
Qui te faisaient rire et en partant
On se disait "à bientôt"
Si deux jours nous séparaient
C'était long comme une éternité
Aussi, nous avons pensé souvent
Que l'autre avait disparu pendant
Que les colombes de la rue des Sèves
Se faisaient comme une ronde
Autour de nos rêves
Peu à peu, moi, j'ai changé
J'n'ai jamais su pour quoi ni pour qui
Était-ce une folie, je n'en sais rien
Mais je sais que j'y perdais
Y avait rien à espérer
Tout prenait la couleur de l'ennui
C'était comme si, au fond des mains
La fleur d'amour se fanait
Et dire que les colombes
De la rue des Sèves
Se faisaient comme une ronde
Autour de nos rêves
Cinq ans ont passé depuis
Et si tu m'revoyais parfois
Tu me verrais la tête penchée
L'oeil et le geste lointains
Et sur le mur de mes nuits
Se dessine une ombre quelquefois
Qui est celle de t'avoir blessée
Sans que je n'y puisse rien
Credits
Writer(s): Pierre A Létourneau
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
Other Album Tracks
- La chanson des pissenlits
- Tu m'étais venue
- La gueuse
- Olga
- Les pluies de novembre
- Les colombes
- Les clandestins
- Te revoilà
- La vie est une échelle
- Percé
All Album Tracks: Échos Vedettes Souvenirs: Pierre Létourneau, Vol.1 >
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.