Tiphaine
Je l'ai rencontrée, sur les quais
D'une vieille gare, abandonnée
Et ses yeux commencèrent à crier
Elle voulait, à tout prix m'emmener
Elle a décidé, d'ignorer
Toute ma vie privée, m'a enlevé
Et le ciel sourit à ses désirs
Tu m'appelles depuis la première nuit
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tu n'as jamais jamais personne
Car je suis parti avec elle
Et pourtant tu sais que je t'aime
Tiphaine, quand tu me téléphones
Quand j'ai essayé, d'échapper
À ma destinée, j'étais prisonnier
Et mes yeux, commencèrent à pleurer
Je rêvais, d'aller te retrouver
Mais j'avais compris, bien trop tard
Que c'était fini, fini pour moi
Et le ciel sourit à ses désirs
Tu m'appelles depuis la première nuit
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tu n'as jamais jamais personne
Car je suis parti avec elle et pourtant tu sais que je t'aime
Tiphaine, quand tu me téléphones
Et le ciel sourit à ses désirs
Tu m'appelles depuis la première nuit
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tu n'as jamais jamais personne
Car je suis parti avec elle et pourtant tu sais que je t'aime
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tu n'as jamais jamais personne
Car je suis parti avec elle et pourtant tu sais que je t'aime
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tu n'as jamais jamais personne
Car je suis parti avec elle et pourtant tu sais que je t'aime
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tu n'as jamais jamais personne
Car je suis parti avec elle et pourtant tu sais que je t'aime
Tiphaine, quand tu me téléphones
D'une vieille gare, abandonnée
Et ses yeux commencèrent à crier
Elle voulait, à tout prix m'emmener
Elle a décidé, d'ignorer
Toute ma vie privée, m'a enlevé
Et le ciel sourit à ses désirs
Tu m'appelles depuis la première nuit
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tu n'as jamais jamais personne
Car je suis parti avec elle
Et pourtant tu sais que je t'aime
Tiphaine, quand tu me téléphones
Quand j'ai essayé, d'échapper
À ma destinée, j'étais prisonnier
Et mes yeux, commencèrent à pleurer
Je rêvais, d'aller te retrouver
Mais j'avais compris, bien trop tard
Que c'était fini, fini pour moi
Et le ciel sourit à ses désirs
Tu m'appelles depuis la première nuit
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tu n'as jamais jamais personne
Car je suis parti avec elle et pourtant tu sais que je t'aime
Tiphaine, quand tu me téléphones
Et le ciel sourit à ses désirs
Tu m'appelles depuis la première nuit
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tu n'as jamais jamais personne
Car je suis parti avec elle et pourtant tu sais que je t'aime
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tu n'as jamais jamais personne
Car je suis parti avec elle et pourtant tu sais que je t'aime
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tu n'as jamais jamais personne
Car je suis parti avec elle et pourtant tu sais que je t'aime
Tiphaine, quand tu me téléphones
Tu n'as jamais jamais personne
Car je suis parti avec elle et pourtant tu sais que je t'aime
Tiphaine, quand tu me téléphones
Credits
Writer(s): Raymond Douglas Davies
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
Other Album Tracks
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.