Colombia
Enrôlé de force depuis longtemps maintenant
Du haut de mes douze ans je n'ai plus rien d'un enfant
Je vis en Colombie sur la terre de mes parents
Un enfer baigné de poussière et de sang
Mon pays tient son nom d'un symbole de la paix
Portant dans son bec une branche d'olivier
Colombia querida, de tes terres divisées
L'oiseau au rameau ne s'envolera plus jamais
Colombia llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Colombia llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Bogota llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Bogota llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Le gouvernement nous ment, nous ment comme il respire
Pour des histoires de fric, des putains de causes politiques
La drogue, la corruption et les textes marxistes
Ont droit de vie et de mort sur les terres d'Amérique
Les narcoterroristes, para-militaristes
Dirigent notre pays, et pour eux c'est pratique
Car l'occident s'en fout, et c'est là qu'est le hic
Ma vie ne vaut pas celle des enfants du G8
Colombia llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Colombia llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Bogota llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Bogota llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Ils ont détruit mon foyer et brûlé mon village
Mais très vite j'ai appris à tourner la page
Jeté sur les routes, moi un gamin sans âge
Un arme à la main, une larme au visage
Nous ne sommes plus que deux, de tous mes frères et sœurs
Et au ventre nous tiraille la faim et la peur
Troqués nos innocences et nos épées de bois
Contre des jours de violence et des nuits d'effroi
Colombia llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Colombia llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Bogota llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Bogota llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Tandis que sur le front je nourris les canons
Et vois tombr de près mes plus proches compagnons
Sur le camp des adultes, au nom de la patrie
C'est d'autres appétits que ma sœur assouvit
Mais malgré la rage, les combats et le sang
Je reste un soldat avec un fusil trop grand
Et toujours l'espoir de quitter les rangs
Je reste un soldat avec un fusil trop grand
Colombia llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Colombia llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Mi mama llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Mi mama llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Du haut de mes douze ans je n'ai plus rien d'un enfant
Je vis en Colombie sur la terre de mes parents
Un enfer baigné de poussière et de sang
Mon pays tient son nom d'un symbole de la paix
Portant dans son bec une branche d'olivier
Colombia querida, de tes terres divisées
L'oiseau au rameau ne s'envolera plus jamais
Colombia llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Colombia llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Bogota llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Bogota llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Le gouvernement nous ment, nous ment comme il respire
Pour des histoires de fric, des putains de causes politiques
La drogue, la corruption et les textes marxistes
Ont droit de vie et de mort sur les terres d'Amérique
Les narcoterroristes, para-militaristes
Dirigent notre pays, et pour eux c'est pratique
Car l'occident s'en fout, et c'est là qu'est le hic
Ma vie ne vaut pas celle des enfants du G8
Colombia llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Colombia llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Bogota llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Bogota llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Ils ont détruit mon foyer et brûlé mon village
Mais très vite j'ai appris à tourner la page
Jeté sur les routes, moi un gamin sans âge
Un arme à la main, une larme au visage
Nous ne sommes plus que deux, de tous mes frères et sœurs
Et au ventre nous tiraille la faim et la peur
Troqués nos innocences et nos épées de bois
Contre des jours de violence et des nuits d'effroi
Colombia llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Colombia llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Bogota llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Bogota llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Tandis que sur le front je nourris les canons
Et vois tombr de près mes plus proches compagnons
Sur le camp des adultes, au nom de la patrie
C'est d'autres appétits que ma sœur assouvit
Mais malgré la rage, les combats et le sang
Je reste un soldat avec un fusil trop grand
Et toujours l'espoir de quitter les rangs
Je reste un soldat avec un fusil trop grand
Colombia llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Colombia llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Mi mama llora
Lloro tan bien, lloro tan bien
Mi mama llora
Lloro tan bien, a los ninos que mueren
Credits
Writer(s): Hugues Appert
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
Other Album Tracks
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.