Rien qu'une histoire d'amour
L'amour de sa vie, comme une étoile filante
L'a laissée dans le noir, gouffre de désespoir, un vide infini
Elle avait quinze ans. Elle savait déjà pourtant
Elle voulait son enfant, elle voulait sa tendresse
Elle voulait toute la vie
Lui n'a pas su voir. Il a compris trop tard
Être aimé si fort, un tel trésor à jamais perdu
Tristes adieux, et malgré le lieu sordide
Malgré le temps passé, ils n'ont rien oublié
Se souviennent de tout
C'est rien qu'une histoire d'amour qui n'a jamais vu le jour
Une soif et un regret au fond des cœurs
Il vaut mieux qu'on l'imagine, que de contempler les ruines
De l'usure des années, de l'habitude
L'ennui de deux solitudes
Il ne sait rien d'elle, elle ne sait rien de lui
Ils n'ont jamais osé: la famille, les enfants, tous ces gens heureux
Photos sur la toile, rencontre par hasard
Pensée furtive, tant de fébrilité
Tout peut recommencer
Cœur qui bas trop fort. Éviter son regard
Ne pas se perdre au fond de ses yeux, au son de sa voix
Images lointaines. Jamais dit je t'aime
La douceur, les caresses, les larmes sur ses joues
Le parfum de ses cheveux
C'est rien qu'une histoire d'amour qui n'a jamais vu le jour
Une soif et un regret au fond des cœurs
Çà n'empêche pas la fièvre. Çà n'empêche pas le rêve
De s'abandonner, rien qu'une nuit
Dans les bras de l'amant perdu
L'a laissée dans le noir, gouffre de désespoir, un vide infini
Elle avait quinze ans. Elle savait déjà pourtant
Elle voulait son enfant, elle voulait sa tendresse
Elle voulait toute la vie
Lui n'a pas su voir. Il a compris trop tard
Être aimé si fort, un tel trésor à jamais perdu
Tristes adieux, et malgré le lieu sordide
Malgré le temps passé, ils n'ont rien oublié
Se souviennent de tout
C'est rien qu'une histoire d'amour qui n'a jamais vu le jour
Une soif et un regret au fond des cœurs
Il vaut mieux qu'on l'imagine, que de contempler les ruines
De l'usure des années, de l'habitude
L'ennui de deux solitudes
Il ne sait rien d'elle, elle ne sait rien de lui
Ils n'ont jamais osé: la famille, les enfants, tous ces gens heureux
Photos sur la toile, rencontre par hasard
Pensée furtive, tant de fébrilité
Tout peut recommencer
Cœur qui bas trop fort. Éviter son regard
Ne pas se perdre au fond de ses yeux, au son de sa voix
Images lointaines. Jamais dit je t'aime
La douceur, les caresses, les larmes sur ses joues
Le parfum de ses cheveux
C'est rien qu'une histoire d'amour qui n'a jamais vu le jour
Une soif et un regret au fond des cœurs
Çà n'empêche pas la fièvre. Çà n'empêche pas le rêve
De s'abandonner, rien qu'une nuit
Dans les bras de l'amant perdu
Credits
Writer(s): Adrien Chevarie
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