Où je vis
Je vis à l'heure dans le cœur d'une montre arrêtée
Le temps s'est envolé, a cessé de couler
Les jours passent comme de l'eau, à mes pieds immobiles
De grandes roues dentelées semblent me regarder
L'amour suit son cours
Et le cours de ce jour est
Le maître a dit "aimez"
La rivière chante quand je chante
La nuit va s'allonger au fond de la vallée
Où le jour l'a quittée
Des lions dorment à mes pieds, près du feu allongés
Près d'un loup solitaire qu'ils aiment comme un frère
L'amour suit son cours
Et le cours à ce jour est
Le maître dit "respirez"
Au loin, ils passent des trains qui jamais ne m'emmènent
Dans la gare oubliée, la vie, les souvenirs
En vain chantent ce train et je sais où il mène
Dans la gare désertée chante un autre avenir
L'amour suit son cours
Et le cours à ce jour est
Le maître a dit "restez"
Les saules coulent des branches qui doucement se penchent
Sous les lueurs du ciel, tendrement reflétées
Si parfois une rose semble dire quelque chose
C'est chuchoté au cœur et seulement quand elle ose
Pas besoin d'autre chose quand se taisent ecchymoses
Ne pense plus à ces choses, c'est là que tu te poses
Ton voyage t'alourdit
Oiseau du Paradis
Et le cours d'aujourd'hui c'est
Va donc la retrouver
Va donc la retrouver
Et va la retrouver
Va la retrouver
Le temps s'est envolé, a cessé de couler
Les jours passent comme de l'eau, à mes pieds immobiles
De grandes roues dentelées semblent me regarder
L'amour suit son cours
Et le cours de ce jour est
Le maître a dit "aimez"
La rivière chante quand je chante
La nuit va s'allonger au fond de la vallée
Où le jour l'a quittée
Des lions dorment à mes pieds, près du feu allongés
Près d'un loup solitaire qu'ils aiment comme un frère
L'amour suit son cours
Et le cours à ce jour est
Le maître dit "respirez"
Au loin, ils passent des trains qui jamais ne m'emmènent
Dans la gare oubliée, la vie, les souvenirs
En vain chantent ce train et je sais où il mène
Dans la gare désertée chante un autre avenir
L'amour suit son cours
Et le cours à ce jour est
Le maître a dit "restez"
Les saules coulent des branches qui doucement se penchent
Sous les lueurs du ciel, tendrement reflétées
Si parfois une rose semble dire quelque chose
C'est chuchoté au cœur et seulement quand elle ose
Pas besoin d'autre chose quand se taisent ecchymoses
Ne pense plus à ces choses, c'est là que tu te poses
Ton voyage t'alourdit
Oiseau du Paradis
Et le cours d'aujourd'hui c'est
Va donc la retrouver
Va donc la retrouver
Et va la retrouver
Va la retrouver
Credits
Writer(s): Jean-louis Aubert
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