Nocturne vivante
Ma vie jusque là se résume à l'amas des désastres de l'âme
Résultats bruts infâmes du rayonnement des décisions débauchées que j'ai prises
J'ai baissé la mise jusqu'à briser le futur et criser en sciures d'espoir
C'est à croire que j'apprécie la peine des questions quotidiennes de pourquoi
De comment, de qui donc suis-je à poser des pensées au crayon
De chercher la raison
D'élucider le fond final et imposé
Contre lequel il est impossible d'oser
Quelconque satisfaction ultime
Nous fondons vers l'abîme et s'opposer au destin
Constitue à l'humain mortel achiléen ce combat risible vis à vis des avis invincibles
De la nature même, qui elle est inextinguible, à la fois déesse et souveraine
La vie, oui, ma vie, elle est belle, elle est pleine
Je l'adore, c'est la reine que j'implore
De m'accorder un jour, encore une journée
S'il vous plaît, sur cette terre bénie où je vis
Où mon cœur a ses racines arrosées
De pluie par les pleurs du céleste paradis qu'est le ciel
Qu'elle est belle, cette femme qui nous berce
Qui nourrit quand on réclame et marie nos doux âmes
Au réel impitoyable, nos places effroyables dans l'espace infini, elle nous guide et Plaisante
Ironie terrifiante quand elle crie ou qu'elle chante
Basculant comme une enfant heureuse
Sous les feuilles en cascade d'automne qui creusent le chemin vers l'hiver
Métaphore du désert
Et ses batailles qui froissent nos esprits
Angoisses et mépris pour ces reconnaissances
Qu'on se doit à nous-même d'exister ici
Résultats bruts infâmes du rayonnement des décisions débauchées que j'ai prises
J'ai baissé la mise jusqu'à briser le futur et criser en sciures d'espoir
C'est à croire que j'apprécie la peine des questions quotidiennes de pourquoi
De comment, de qui donc suis-je à poser des pensées au crayon
De chercher la raison
D'élucider le fond final et imposé
Contre lequel il est impossible d'oser
Quelconque satisfaction ultime
Nous fondons vers l'abîme et s'opposer au destin
Constitue à l'humain mortel achiléen ce combat risible vis à vis des avis invincibles
De la nature même, qui elle est inextinguible, à la fois déesse et souveraine
La vie, oui, ma vie, elle est belle, elle est pleine
Je l'adore, c'est la reine que j'implore
De m'accorder un jour, encore une journée
S'il vous plaît, sur cette terre bénie où je vis
Où mon cœur a ses racines arrosées
De pluie par les pleurs du céleste paradis qu'est le ciel
Qu'elle est belle, cette femme qui nous berce
Qui nourrit quand on réclame et marie nos doux âmes
Au réel impitoyable, nos places effroyables dans l'espace infini, elle nous guide et Plaisante
Ironie terrifiante quand elle crie ou qu'elle chante
Basculant comme une enfant heureuse
Sous les feuilles en cascade d'automne qui creusent le chemin vers l'hiver
Métaphore du désert
Et ses batailles qui froissent nos esprits
Angoisses et mépris pour ces reconnaissances
Qu'on se doit à nous-même d'exister ici
Credits
Writer(s): Raoul Maccamley
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