L'hiver de Marie
Elle s'est réveillée après qu'il soit parti
Elle n'avait plus le goût de traîner au lit
Elle s'est fait un bol de café
Deux trois trucs à grignoter
À la fenêtre un ciel gris fer
La première neige déjà l'hiver
Elle ne tourne plus les pages du calendrier
Les aiguilles de l'horloge sont immobilisées
Avec une étrange exactitude
À l'heure où il rentrait d'habitude
Chez-nous il fait froid à pierre fendre
J'avais si hâte que tu rentres
Elle le croyait parti pour un jour
Mais la pauvre, elle se trompait
Son tendre beau son grand amour
Était parti à jamais
Elle le croyait parti pour un jour
Mais la pauvre, elle se trompait
Son tendre beau son grand amour
Était parti à jamais
Frimas de décembre et givre de Janvier
Chaque matin elle buvait froid son café
Il lui faisait quand même chaud au cœur
Tant son hiver s'étirait en longueur
Elle qui trouvait que le mot toujours
Rimait si bien trop bien avec amour
Elle a bien vu qu'elle se trompait
Que la rime est belle sans être vraie
Qu'il fut long à venir le mois de Mai
Ou elle mis enfin sa robe de soirée
Elle le croyait parti pour un jour
Mais la pauvre, elle se trompait
Son tendre beau son grand amour
Était parti à jamais
Elle le croyait parti pour un jour
Mais la pauvre, elle se trompait
Son tendre beau son grand amour
Était parti à jamais
Elle n'avait plus le goût de traîner au lit
Elle s'est fait un bol de café
Deux trois trucs à grignoter
À la fenêtre un ciel gris fer
La première neige déjà l'hiver
Elle ne tourne plus les pages du calendrier
Les aiguilles de l'horloge sont immobilisées
Avec une étrange exactitude
À l'heure où il rentrait d'habitude
Chez-nous il fait froid à pierre fendre
J'avais si hâte que tu rentres
Elle le croyait parti pour un jour
Mais la pauvre, elle se trompait
Son tendre beau son grand amour
Était parti à jamais
Elle le croyait parti pour un jour
Mais la pauvre, elle se trompait
Son tendre beau son grand amour
Était parti à jamais
Frimas de décembre et givre de Janvier
Chaque matin elle buvait froid son café
Il lui faisait quand même chaud au cœur
Tant son hiver s'étirait en longueur
Elle qui trouvait que le mot toujours
Rimait si bien trop bien avec amour
Elle a bien vu qu'elle se trompait
Que la rime est belle sans être vraie
Qu'il fut long à venir le mois de Mai
Ou elle mis enfin sa robe de soirée
Elle le croyait parti pour un jour
Mais la pauvre, elle se trompait
Son tendre beau son grand amour
Était parti à jamais
Elle le croyait parti pour un jour
Mais la pauvre, elle se trompait
Son tendre beau son grand amour
Était parti à jamais
Credits
Writer(s): Pierre Girard
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