Patwon
Patron, je veux bien te les cirer, les chaussures
Mais, ma parole, tu te fous de ma figure
Comment tu veux qu'il y tienne la poussière
Si tu m'y donnes des coups de pied au derrière
Je vivais heureux dans ma petite hutte
Dans le costume que l'bon Dieu m'a donné
Maintenant, je sais que la vie est une lutte
Car, voyez-vous, je suis civilisé
J'étais tout nu, on m'a fait rhabiller
Mais, ma parole, moi j'y comprends plus rien
Car la patronne, quand elle y va danser
Elle fait tout pour qu'on y voie les nénés
(Qu'on y voie les nénés)
Maintenant, je connais tous les principes
De la morale et de la société
Bien sûr, on s'fait un peu taper sur la pipe
Mais finalement on a l'égalité
Oui, on est tous pareils aux yeux des blancs
Tellement pareils qu'ils ne nous reconnaissent pas
Ils disent que dans l'noir on ne voit que nos dents
Mais pour l'estomac on l'a dans le baba
(On l'a dans le baba)
Tu sais qu'notre grand-père, y s'appelait Adam
J'ai dit au patron que peut-être on est frères
Alors mon vieux, dit-il en se marrant
Quand mon père y t'a fait, y avait pas de lumière
Ah! Mon patron y joue avec les mots
Mais y s'rait pas fier s'y savait qu'avec la patronne
Je fais des extras le soir après l'boulot
Pour me payer des cours à la Sorbonne
Et un jour je lui dirai
Comme tous les civilisés
Mon pote, si tu crois qu'je vais t'cirer les pompes
Alors, mon vieux, tu te fous l'doigt dans l'oeil
Je dirais même une défense, tant tu t'trompes
Fous-moi la paix, barre ton pied d'mon fauteuil
Mais, ma parole, tu te fous de ma figure
Comment tu veux qu'il y tienne la poussière
Si tu m'y donnes des coups de pied au derrière
Je vivais heureux dans ma petite hutte
Dans le costume que l'bon Dieu m'a donné
Maintenant, je sais que la vie est une lutte
Car, voyez-vous, je suis civilisé
J'étais tout nu, on m'a fait rhabiller
Mais, ma parole, moi j'y comprends plus rien
Car la patronne, quand elle y va danser
Elle fait tout pour qu'on y voie les nénés
(Qu'on y voie les nénés)
Maintenant, je connais tous les principes
De la morale et de la société
Bien sûr, on s'fait un peu taper sur la pipe
Mais finalement on a l'égalité
Oui, on est tous pareils aux yeux des blancs
Tellement pareils qu'ils ne nous reconnaissent pas
Ils disent que dans l'noir on ne voit que nos dents
Mais pour l'estomac on l'a dans le baba
(On l'a dans le baba)
Tu sais qu'notre grand-père, y s'appelait Adam
J'ai dit au patron que peut-être on est frères
Alors mon vieux, dit-il en se marrant
Quand mon père y t'a fait, y avait pas de lumière
Ah! Mon patron y joue avec les mots
Mais y s'rait pas fier s'y savait qu'avec la patronne
Je fais des extras le soir après l'boulot
Pour me payer des cours à la Sorbonne
Et un jour je lui dirai
Comme tous les civilisés
Mon pote, si tu crois qu'je vais t'cirer les pompes
Alors, mon vieux, tu te fous l'doigt dans l'oeil
Je dirais même une défense, tant tu t'trompes
Fous-moi la paix, barre ton pied d'mon fauteuil
Credits
Writer(s): Salvatore Adamo
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.